chamois a ST saturnins les apts
Modérateurs : phil, uncinat55, jacques 37, galistruffe
Re: chamois a ST saturnins les apts
Bonsoir a tous,
Juste un petit document sur la crue centennale du verdon en 1994.
Je pense quand même que la crue a été écrêtée, il y a quand même 5 barrages sur le verdon et sans eux je n'arroserai pas mes arbres.
Cordialement.
Patrick.
http://www.lessallessurverdon.com/LScrue.html
Juste un petit document sur la crue centennale du verdon en 1994.
Je pense quand même que la crue a été écrêtée, il y a quand même 5 barrages sur le verdon et sans eux je n'arroserai pas mes arbres.
Cordialement.
Patrick.
http://www.lessallessurverdon.com/LScrue.html
Re: chamois a ST saturnins les apts
Un débit, c'est très compliqué à calculer. Car ça dépend de la section de la rivière et de la vitesse du courant. Or, lors d'une crue morphogène, la section du lit varie car les fonds bougent.
De plus, la vitesse du courant n'est pas homogène sur toute la section. Le courant est plus faible au fond et sur les cotés du lit qu'au centre.
Techniquement, il est impossible de mesurer un tel débit. Ce sont des estimations qui sont données. Car pour mesurer, il faudrait mesurer la profondeur du lit en de nombreux points de manière à réaliser un transect et ensuite, à l'aplomb de chaque point de mesure de la profondeur, mesurer la vitesse du courant à toutes les hauteurs à l'aide d'un appareil nommé "saumon" qu'il faudrait poser au fond et remonter à la verticale le temps qu'il effectue les mesures. ==> Impossible.
Nous aussi sur la Dordogne on a des barrages. Nous aussi, on pense être protégés car depuis leur construction, aucune crue centennale ne s'est présentée. Mais un jour, on y aura droit. Et les barrages n'y pourront rien. Le temps de se remplir, ils limiteront un peu la vitesse de montée des eaux à l'aval. Mais une fois pleins, tout le débit entrant passera via les évacuateurs de crue.
Pire, si un barrage venait à céder, ça serait l'apocalypse.
Paris aussi sait que malgré les barrages construit depuis 1910, un jour où l'autre, il y aura de semblables inondations à quelques centimètres près( lié il est vrai à l'impact des aménagements).
Dans votre cas, les barrages ont été une bénédiction pour l'agriculture. Et cela a d'ailleurs contribué à améliorer l'état des cours d'eau en limitant les pompages directs dans le lit qui causaient les sévères étiages dont parle César.
Malheureusement, les débits réservés actuels laissés dans le lit sont ridicules. Et les milieux aquatiques en souffrent. Pourtant, avec toute l'eau stocké dans les retenues, il serait très facile de tout concilier.
Fred
De plus, la vitesse du courant n'est pas homogène sur toute la section. Le courant est plus faible au fond et sur les cotés du lit qu'au centre.
Techniquement, il est impossible de mesurer un tel débit. Ce sont des estimations qui sont données. Car pour mesurer, il faudrait mesurer la profondeur du lit en de nombreux points de manière à réaliser un transect et ensuite, à l'aplomb de chaque point de mesure de la profondeur, mesurer la vitesse du courant à toutes les hauteurs à l'aide d'un appareil nommé "saumon" qu'il faudrait poser au fond et remonter à la verticale le temps qu'il effectue les mesures. ==> Impossible.
Nous aussi sur la Dordogne on a des barrages. Nous aussi, on pense être protégés car depuis leur construction, aucune crue centennale ne s'est présentée. Mais un jour, on y aura droit. Et les barrages n'y pourront rien. Le temps de se remplir, ils limiteront un peu la vitesse de montée des eaux à l'aval. Mais une fois pleins, tout le débit entrant passera via les évacuateurs de crue.
Pire, si un barrage venait à céder, ça serait l'apocalypse.
Paris aussi sait que malgré les barrages construit depuis 1910, un jour où l'autre, il y aura de semblables inondations à quelques centimètres près( lié il est vrai à l'impact des aménagements).
Dans votre cas, les barrages ont été une bénédiction pour l'agriculture. Et cela a d'ailleurs contribué à améliorer l'état des cours d'eau en limitant les pompages directs dans le lit qui causaient les sévères étiages dont parle César.
Malheureusement, les débits réservés actuels laissés dans le lit sont ridicules. Et les milieux aquatiques en souffrent. Pourtant, avec toute l'eau stocké dans les retenues, il serait très facile de tout concilier.
Fred
Re: chamois a ST saturnins les apts
Bonjour,
Merci pour ces docs;
La Dronne a parfois des crues qui envahissent le centre de Brantôme et Bourdeille;
Elles sont régulées par le barrage de Miallet qui profite bien aux agriculteurs; pas à l'environnement; il arrive que l'été les poissons, entre autre, n'ont pas assez d'eau
Les grandes crues ne peuvent pas être régulées par le barrage
http://bourdeilles.files.wordpress.com/ ... .jpg?w=510
Cordialement.JJR24
Merci pour ces docs;
La Dronne a parfois des crues qui envahissent le centre de Brantôme et Bourdeille;
Elles sont régulées par le barrage de Miallet qui profite bien aux agriculteurs; pas à l'environnement; il arrive que l'été les poissons, entre autre, n'ont pas assez d'eau
Les grandes crues ne peuvent pas être régulées par le barrage
http://bourdeilles.files.wordpress.com/ ... .jpg?w=510
Cordialement.JJR24
Re: chamois a ST saturnins les apts
Bonjour a tous,
Fred c'est vrai que lors d'une crue comme celle ci le débit semble difficilement quantifiable. Les seuls repères que l'on peut avoir semblent être les hauteurs d'eau atteintes le long du lit.
Concernant les préjudices subits par le cour d'eau, ils sont multiples. J'ai pratiqué la pêche dans les gorges du Verdon et le débit n'y est jamais constant. On peut passer en quelques heures de 0.5 m3/s a 32 m3/s et ceci plusieurs fois par mois pour des besoins hydroélectriques. Je vous laisse imaginer ce que cela peut produire sur la faune et la flore de la rivière.
Sur une rivière comme celle la et d'autres il faut concilier les sports d'eau vive, les pêcheurs,EDF, les agriculteurs, les vacanciers. Les intérêts économiques passent bien souvent avant le respect de la vie de la rivière et le risque de crue dévastatrice éventuelle. Même si ils sont pris en compte.
Tout ceci nous a quand même fait pas mal dévier du chamois de st saturnin.
Je n'imaginais pas qu'ils puissent se rapprocher autant de Marseille. Je sais qu'ils sont présent dans le massif de la sainte baume.
Cordialement.
Patrick.
Fred c'est vrai que lors d'une crue comme celle ci le débit semble difficilement quantifiable. Les seuls repères que l'on peut avoir semblent être les hauteurs d'eau atteintes le long du lit.
Concernant les préjudices subits par le cour d'eau, ils sont multiples. J'ai pratiqué la pêche dans les gorges du Verdon et le débit n'y est jamais constant. On peut passer en quelques heures de 0.5 m3/s a 32 m3/s et ceci plusieurs fois par mois pour des besoins hydroélectriques. Je vous laisse imaginer ce que cela peut produire sur la faune et la flore de la rivière.
Sur une rivière comme celle la et d'autres il faut concilier les sports d'eau vive, les pêcheurs,EDF, les agriculteurs, les vacanciers. Les intérêts économiques passent bien souvent avant le respect de la vie de la rivière et le risque de crue dévastatrice éventuelle. Même si ils sont pris en compte.
Tout ceci nous a quand même fait pas mal dévier du chamois de st saturnin.
Je n'imaginais pas qu'ils puissent se rapprocher autant de Marseille. Je sais qu'ils sont présent dans le massif de la sainte baume.
Cordialement.
Patrick.
Re: chamois a ST saturnins les apts
Jean Jacque, le barrage de Miallet à été fait en grande partie pour les agriculteurs, avant qu'il n'éxiste j'ai souvenir d'été ou le niveau été tellement bas sur la Dronne comme sur la côle nous que celà facilité bien les choses pour pêcher les truites à la main!. Maintenant je ne reconnais plus ma rivière avec des eaux presque cristalline mais avec bien peu de vie dedans.
Didier
Didier
Re: chamois a ST saturnins les apts
Bonjour à tous,
je travaille sur les rivières et milieux aquatiques et je suis très content de lire les écrits de Mélano qui sont pour la gestion des barrages des vérités.
En effet, les crues centennales sont qu'on le veuillent ou non des événements que l'on ne peut maîtriser quelques soient les aménagements du bassin.
La disparition des crues morphogènes annuelles ou décennales par exemple et une catastrophe pour les milieux naturelles et leurs annexes.
Alors de grâce, acceptez que les barrages aient une fonction (hydro électricité, agriculture) je veux bien l'entendre, mais ne parlons pas d’écrêtement de crue ou de bonne chose pour les rivières (gestion quantitative) et les milieux aquatiques en général.
J'en reste là car Melano a vraiment parlé comme je l'aurais fais voir mieux .
Désolé d'intervenir sur ce site formidable avec un premier message assez critique mais ce post m'a fait passer le cap de la présentation . C'est déjà ça!
Rémi
je travaille sur les rivières et milieux aquatiques et je suis très content de lire les écrits de Mélano qui sont pour la gestion des barrages des vérités.
En effet, les crues centennales sont qu'on le veuillent ou non des événements que l'on ne peut maîtriser quelques soient les aménagements du bassin.
La disparition des crues morphogènes annuelles ou décennales par exemple et une catastrophe pour les milieux naturelles et leurs annexes.
Alors de grâce, acceptez que les barrages aient une fonction (hydro électricité, agriculture) je veux bien l'entendre, mais ne parlons pas d’écrêtement de crue ou de bonne chose pour les rivières (gestion quantitative) et les milieux aquatiques en général.
J'en reste là car Melano a vraiment parlé comme je l'aurais fais voir mieux .
Désolé d'intervenir sur ce site formidable avec un premier message assez critique mais ce post m'a fait passer le cap de la présentation . C'est déjà ça!
Rémi
Re: chamois a ST saturnins les apts
Bonjour,
pour répondre sur le sujet du barrage de Miallet, en effet les débits réservés sont ridicules et ne permettent pas de maintenir des niveaux parfait pour la vie dans la rivière (encore que la Dronne reste parmi les rivières en bon état du Sud ouest) mais ils ont le mérite de maintenir un minimum de débits.
Il ne faut pas voir le barrage de Miallet comme la solution ou le problème, cherchez plutôt du coté de la modification des bassins versants et la disparition des zones humides. On se rend compte quand même, que des cours d'eau ou la ressource ne fait pas défauts en quantité et qualité de l'eau sont souvent sur des bassins aux profils accidentés et aux sources non captées (par exemple sur le bassin de la Côle le ruisseau de Touroulet, le Périgord et bien d'autres sont en bon état).
J'arrête là car je pourrais être long et ennuyeux mais la Dronne je connais un petit peu .
Bien cordialement
Rémi
pour répondre sur le sujet du barrage de Miallet, en effet les débits réservés sont ridicules et ne permettent pas de maintenir des niveaux parfait pour la vie dans la rivière (encore que la Dronne reste parmi les rivières en bon état du Sud ouest) mais ils ont le mérite de maintenir un minimum de débits.
Il ne faut pas voir le barrage de Miallet comme la solution ou le problème, cherchez plutôt du coté de la modification des bassins versants et la disparition des zones humides. On se rend compte quand même, que des cours d'eau ou la ressource ne fait pas défauts en quantité et qualité de l'eau sont souvent sur des bassins aux profils accidentés et aux sources non captées (par exemple sur le bassin de la Côle le ruisseau de Touroulet, le Périgord et bien d'autres sont en bon état).
J'arrête là car je pourrais être long et ennuyeux mais la Dronne je connais un petit peu .
Bien cordialement
Rémi
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Re: chamois a ST saturnins les apts
bonsoirRG 24 a écrit :Bonjour à tous,
Alors de grâce, acceptez que les barrages aient une fonction (hydro électricité, agriculture) je veux bien l'entendre, mais ne parlons pas d’écrêtement de crue ou de bonne chose pour les rivières (gestion quantitative) et les milieux aquatiques en général.
J'en reste là car Melano a vraiment parlé comme je l'aurais fais voir mieux .
Désolé d'intervenir sur ce site formidable avec un premier message assez critique mais ce post m'a fait passer le cap de la présentation . C'est déjà ça!
Rémi
désolé d'intervenir mais il ne faut pas généraliser
pour le barrage qui me concerne, Serre-ponçon, il a bien une fonction d'écrêtement des flux,
la derniére fois que ce barrage a ouvert les vannes de décharge 2010 ou 2011, ce qui ne c'était pas fait depuis 25 ans, il retenait encore 1/4 du flux entrant
en dessous, les flux sont gonflés principalement par le Verdon, mais celui-ci est régulé par le barrage de St Croix, les flux sur le cours bas de la Durance (vers Pertuis) ne dépasse pas en général 3000m3/s,
les anciens qui ont connus la Durance et le Verdon avant les barrages ne tarrissent pas de reconnaissance envers ces barrages
Si je ne me trompe pas, Serre-ponçon, plus grand barrage en terre d'europe et St croix, plus grand barrage voûte d'europe,
aprés l'irrigation et le tourisme c'est un plus
sincères salutations
Re: chamois a ST saturnins les apts
Passionnant ce sujet sur les chamois !!
Plus sérieusement c'est toujours aussi intéressant de lire différents avis, quand bien même contradictoires ils peuvent être.
Pour en revenir sur les diverses biques tjs plus proches, le retour du loup, l'augmentation exponentielle des sangliers, l'explication donnée par un chercheur de l'ONF rencontré lors d'une manifestation à Sérignan du Comtat l'année dernière est simple et limpide:
Nos contrées sont en plein reboisement depuis le début du siècle, notamment suite à l'abandon des pratiques culturales et pastorales.
Désertification par l'homme des milieux ruraux au profit des grands centres urbains, tous proches des littoraux, des fleuves ou des grands lacs.
Il faut entre 50 et 200 ans pour un reboisement complet en fonction du milieu, grossièrement: acide/granitique, développement rapide, du type massif des Maures (en 15 ans la forêt est à même de réapparaître en partie après un feu). Développement long à bcp plus long pour les milieux basiques/calcaire (30 à 50 ans après le passage d'un feu).
Le reboisement d'un espace préalablement "vierge" se fait via une chronologie bien déterminée dans la colonisation du milieu par les essences: d'abord la garrigue (cistes et autres arbustes méditerranéens), puis le pin (d'Alep par ici), qui a la faculté de pousser sur presque rien. Puis le chêne vert, qui lui-même fini par monter bien haut et "étouffer" le pin, et enfin le chêne blanc/pubescent, roi de nos forêts, une fois suffisamment d'humus accumulé pour son développement.
Et donc qui signifie retour de la forêt "primitive" signifie retour de la faune qui va avec, CQFD...
Pour la truffe, cela confirme que son développement en sauvage ne fait que partie d'un cycle bien déterminé dans le temps, avant la fermeture total du milieu. Sauf si intervention humaine pour favoriser/maintenir la réouverture, ce qui rejoint les pratiques d'antan d'entretiens du milieu.
Je ne vous parle pas du développement que le monsieur a fait sur la météo mais clairement le fameux climat méditerranéen risque d'en prendre un coup si ça continue comme cela (réchauffement climatique mis à part): + d'arbres, + d'évapotranspiration, + d'humidité / nuages / pluie qui elle-même fait pousser encore plus d'arbres et se générer de la flotte !!
Plus sérieusement c'est toujours aussi intéressant de lire différents avis, quand bien même contradictoires ils peuvent être.
Pour en revenir sur les diverses biques tjs plus proches, le retour du loup, l'augmentation exponentielle des sangliers, l'explication donnée par un chercheur de l'ONF rencontré lors d'une manifestation à Sérignan du Comtat l'année dernière est simple et limpide:
Nos contrées sont en plein reboisement depuis le début du siècle, notamment suite à l'abandon des pratiques culturales et pastorales.
Désertification par l'homme des milieux ruraux au profit des grands centres urbains, tous proches des littoraux, des fleuves ou des grands lacs.
Il faut entre 50 et 200 ans pour un reboisement complet en fonction du milieu, grossièrement: acide/granitique, développement rapide, du type massif des Maures (en 15 ans la forêt est à même de réapparaître en partie après un feu). Développement long à bcp plus long pour les milieux basiques/calcaire (30 à 50 ans après le passage d'un feu).
Le reboisement d'un espace préalablement "vierge" se fait via une chronologie bien déterminée dans la colonisation du milieu par les essences: d'abord la garrigue (cistes et autres arbustes méditerranéens), puis le pin (d'Alep par ici), qui a la faculté de pousser sur presque rien. Puis le chêne vert, qui lui-même fini par monter bien haut et "étouffer" le pin, et enfin le chêne blanc/pubescent, roi de nos forêts, une fois suffisamment d'humus accumulé pour son développement.
Et donc qui signifie retour de la forêt "primitive" signifie retour de la faune qui va avec, CQFD...
Pour la truffe, cela confirme que son développement en sauvage ne fait que partie d'un cycle bien déterminé dans le temps, avant la fermeture total du milieu. Sauf si intervention humaine pour favoriser/maintenir la réouverture, ce qui rejoint les pratiques d'antan d'entretiens du milieu.
Je ne vous parle pas du développement que le monsieur a fait sur la météo mais clairement le fameux climat méditerranéen risque d'en prendre un coup si ça continue comme cela (réchauffement climatique mis à part): + d'arbres, + d'évapotranspiration, + d'humidité / nuages / pluie qui elle-même fait pousser encore plus d'arbres et se générer de la flotte !!
Re: chamois a ST saturnins les apts
Bonjour,
C'est vrai qu'il ne faut pas généraliser dans le domaine de la gestion de l'eau, alors je te remercie de tes infos sur Serre Ponçon. Mais les barrages du Sud ouest, au niveau écologique sont une catastrophe, et pour la gestion des crues importantes n'ont aucun impact.
Je veux bien l'entendre pour certains bassins versants surtout que je ne les connais pas.
Pour ce qui du développement de la faune je suis bien d'accord avec le dernier message.
Bien cordialement
Rémi
C'est vrai qu'il ne faut pas généraliser dans le domaine de la gestion de l'eau, alors je te remercie de tes infos sur Serre Ponçon. Mais les barrages du Sud ouest, au niveau écologique sont une catastrophe, et pour la gestion des crues importantes n'ont aucun impact.
Je veux bien l'entendre pour certains bassins versants surtout que je ne les connais pas.
Pour ce qui du développement de la faune je suis bien d'accord avec le dernier message.
Bien cordialement
Rémi
Re: chamois a ST saturnins les apts
perso j'ai vu des chamois l'année derniere au mois d'octobre en cueillant des champignons au pied des dentelles de montmirail ,sur la commune de gigondas....
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Re: chamois a ST saturnins les apts
MisterT
belle famille adoptive
jm
belle famille adoptive
jm
VAUCLUSE PIEDS DU VENTOUX NORD
"quoique l'on dise ou que l'on fasse le cul du rabassier sentira toujours le thym"
"quoique l'on dise ou que l'on fasse le cul du rabassier sentira toujours le thym"
Re: chamois a ST saturnins les apts
Bonjour,
Merci pour la photo Mister T, c'est le gros "poisson" qui a ferré le gibier
Bonne journée.JJR24
Merci pour la photo Mister T, c'est le gros "poisson" qui a ferré le gibier
Bonne journée.JJR24
Re: chamois a ST saturnins les apts
En effet jjr24,
Cette sculpture représente une baleine et si j'avais pris la photo quelques secondes plus tôt la baleine aurait eu 3 sangliers dans l'estomac, ça aurai t fait un cliché sympa.
Cette sculpture représente une baleine et si j'avais pris la photo quelques secondes plus tôt la baleine aurait eu 3 sangliers dans l'estomac, ça aurai t fait un cliché sympa.