irrigation 2015

[arcadius]

Bonjour pancho

Tes arbres ont produit nord est !

Est ce du a l ombre du feuillage l apres midi qui rafraichie ton sol .
Ou tu as mis plutot des branches coupees pour paillier et limiter l evaporation d eau de ton sol ?

Chez moi ,j ai parfois trop d eau et surtout un sol moins drainant que vous et j essai d ameliorer d annee en annee sa structure avec des apports de sable et gravelette plus vermiculite...
Je voudrais savoir si votre calcaire est de type friable poreux ou dur ?

Peus tu me le dire .....

Truffadoux

[pancho]

Bonjour ,
Arcadius , sur la Naturel ce sont les branches des chênes qui ont fait de l'ombre ,de plus aucune en crête toutes cavés a mi pente ou en fond ,donc là ou il y avait de l'humidité . Pour le calcaire ouffff c'est du dur ,comme sur ma jeune truffière ,d'ailleurs les 5 truffes cavés dans ma jeune pareil ,Nord Est .
Dans la Drôme en Plantation ,de tous cotés .
Nous avons ouvert un arbre avec Gilou ,elle était vraiment a l'ombre il as fallut y aller a 4 pattes et toujours en mi pente ,par contre un très beau brûlé .
pancho

[arcadius]

Merci gilou et pancho

Le genre pierre de castrie c est une pierre un peu plus ou moins poreuse qui respire ....

Truffadoux

[pancho]

Exact ,pierre du pont du Gard (poreuse avec des débris de coquillage ) chez nous c'est le top du top ,rondes et belles .

[melano]

Il nous faut ces putains de capteurs d'humidité du sol. Tout passe par là. Parce que les doigts dans le sol, les topinambours ou le calendrier lunaire, c'est tout sauf reproductible.

http://www.weenat.com

À tous qu'on est, si on pouvait mutualiser les données, en deux saisons, c'est plié.

Fred

[bion]

Bonjour,

Séduisant, mais coûteux. Et je préférerais garder la main sur les données.

Michel

[melano]

On est d'accord, il nous faut juste le matériel. Les données, on peut les interpréter nous même.

Fred

[Laurent91]

Fred,
J'y travaille, encore un peu de patience et on disposera d'un outil rapport qualité / prix imbattable mais il restera quand même que chacun à un terrain qui lui est propre, avec ses caractéristiques de restitution de l'eau à l'arbre et son hôte différentes.
Pour moi la seule mesure que l'on pourrait tous comparer, c'est le potentiel hydrique mais le problème c'est qu'un tel capteur nu coute autour des 700 euros
A+
Laurent

[béber]

bonjour à tous
un probleme de taille ne peut etre résolu: où installer de tels appareils si le terrain n est pas du tout homogène..........
c est mon cas dans le nord drome nous avons des parcelles le plus souvent pentues et pour ma part quand on ouvre des vannes d irrigation on arrose de partout de la meme façon le probleme commence à ce moment là
bonne journée
béber

[stef@]

À tous qu'on est, si on pouvait mutualiser les données, en deux saisons, c'est plié.

Non fred, j'y crois pas du tout aux capteurs pour la simple et bonne raison que déjà sur ma parcelle de 4000 m2 j'ai trois sol différents et je te parle même pas du sous sol , et ceci sur toute les parcelles que nous avons c'est pareil. Donc à moins d'avoir 150 capteurs au cul de chaque arbre et encore investir un bras je préfère de loin ma petite main qui va piocher a différent endroit du brûler.

Demande a Joël s'il a des capteurs ou a ceux qui font de la truffe tout les ans, je pense pas que se soit le facteur essentielle pour pas assurer une saison.

A moins que tu veuilles avoir certains paramètres bien précis c'est à dire jouer avec les extrêmes limites ?
Encore faut t'il les connaître .

[Leforestier]

C'est les besoins de la truffe en eau suivant le stade qu'il faudrait savoir et faut-il arroser l'arbre ou le champignon

Bonjour,
Très bonne question, peut être une partie du problème se trouve sur cet aspect technique assez peu évoqué!
Bernard

[melano]

La truffe, elle s'en fout du type de sol. Elle est comme nous, elle a des limites physiologiques en dehors desquelles elle meure.

Lorsqu'on veut connaître la tempêrature du sol, on ne le fait pas avec son doigt où en touchant la terre. On prend un thermomètre. Et celà va aider à déterminer les températures du cycle de la truffe. Par exemple, pour les naissances, les italiens ont grâce à leurs thermomètres déterminés que c'était entre 12 et 20 degrés à 20 cm de profondeur.

Après, que tu sois en Alsace, en Italie oú en Espagne, en sol sablonneux ou argileux, au sud ou au nord de ton arbre, c'est entre 12 et 20.

Pareil pour les températures de survie. Si tu dis qu'au délà de 30, ça craint, tu as un repère et un outil pour le mesurer.

C'est ce qui nous manque pour l'humidité du sol : d'abord un outil puis des repères. Ensuite où qu'on soit sur la planète, on pourra s'en servir (oú pas si on sait faire autrement car les gens qui font actuellement des truffes ont leurs propres repères).

Fred

Fred

[tuber01]

2 années de recul ne seront peut être pas suffisantes, en tous cas il faudra des mesures tant qu'une grosse année de production ne sorte pour servir de référence.
j'attaque ma 3eme année avec mon FP, toujours au même endroit et à la même profondeur, il me sert ainsi pour comparer d'années en années , mois en mois.

Seb

[bernard]

Aujourd'hui j'ai installé un thermomètre int/ext, donc avec une sonde que j'ai placée à 20 cm de profondeur. J'attends demain pour voir la température, car ouvrir un trou et le refermer chamboule un peu la réalité. Il enregistre les minis et maxis.
Dans environ deux mois je remonterai la sonde à 15 cm.
Demain je tacherai de faire des photos, là il commence à pleuvoir, 25 mm prévus pour la semaine, peut-être suffisants pour trouver quelques morilles ou sinon des St Georges.

Il ne me reste plus qu'à trouver une sonde d'humidité.

[Renlo]

Fred, si je ne me trompe pas, les italiens ont mesuré ça pendant 1 saison sur 1 brûlé producteur et à partir de là, tu généralises à l'Europe entière . C'est un peu rapide. Quant au sol, c'est souvent lui qui explique le comportement climatique du brûlé et on peut me la raconter tant qu'on voudra, si tu n'a pas un bon terrain, tu auras peut-être des truffes mais plus certainement des em......
Renlo