Faire durer la production longtemps en intégré.
Modérateurs : phil, uncinat55, jacques 37, galistruffe
Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
Bonjour à tous,
Bien vu Seb, ça c'est intéressant.....
Jean Marie, les clones Rob.... on la particularité de ne pas pouvoir faire de pivots, c'est normal, c'est parce qu'ils sont issus de boutures, du coup ils ont un racinaire différent des arbres "normaux".
J'ai un ami qui en a planté une certaine quantité, ils ne sont plus capables d'aller puiser dans le sol en profondeur, ça pose un problème à la reprise.... et au final chez lui ils ne produisent pas mieux que les autres.
Ca fait une jolie plantation, très "ordonné", le développement est moindre, les arbres sont très homogènes, mais ça donne du 50% de producteurs, soit ni plus ni moins que les autre rob.... qu'il a planté la même année sur le même terrain, tous ne produisent pas de la même façon..... là aussi il y en a qui sortent du lot.
L'exemple du clone est pour moi révélatrice, ce n'est pas l'arbre qui fait la production, ça penche plutôt en faveur de la souche du champignon présente sur l'arbre.....
D'où l'idée de la greffe, ne croyez pas que je lance des idées au hasard.... l'avantage du clone coté développement de l'arbre mais avec le racinaire d'un plant issu de semi.
Le must: le semi en place en vue de récupérer si possible la génétique d'un champignon virulent et très bon producteur, suivi ensuite d'une greffe sur place un an avant arrachage..... ça demande deux ans d'élevage et de soin.... est ce insurmontable pour vous ?
Bon, je ne suis pas là pour faire du blabla, qui veux essayer ?
1) simple greffe sur une plantation de cet automne ou au printemps, objectif : simplement atténuer les caractères de juvénilité du jeune plant. Voir ce que ça donne, peut être moins de taille ?, production précoce.
2) Le must (pour ceux qui ne rêvent pas au fond de la classe): Atténuer les caractères de juvénilité du jeune plant, récupération d'une génétique intéressante......
Les risques:
1) AUCUN, si la greffe ne prend pas le plant se développera comme s'il n'avait pas été greffé.....
2) Ca ne coute pas un radis mais il y a le risque que le plant soit mal myco..... et qu'on ne récupère pas la génétique souhaitée.....
Coté pratique:
1) Pour ceux qui ne savent pas greffer il y a un rustica qui est pas mal pour ça.... pour ceux qui ont peur de ne pas y arriver et qui sont proche de chez moi je veux bien aider.... mais pas pour 10 arbres, il faut un échantillon qui ait du sens.
2) Il faut impérativement un arbre super producteur, godet ajouté diamètre 10/15 cm, semis de gland pré-germé, surtout pas d'apport de truffe, godet placé en limite de zone de production.... un outil spécial installé sur un cadre de sous-soleuse, le but étant au printemps suivant le semis d'aller couper les racines plongeantes sans toucher à l'arbre..... si nécessaire je veux bien aider aussi....
On peut en parler ici mais contact par MP, merci.
Joel
Bien vu Seb, ça c'est intéressant.....
Jean Marie, les clones Rob.... on la particularité de ne pas pouvoir faire de pivots, c'est normal, c'est parce qu'ils sont issus de boutures, du coup ils ont un racinaire différent des arbres "normaux".
J'ai un ami qui en a planté une certaine quantité, ils ne sont plus capables d'aller puiser dans le sol en profondeur, ça pose un problème à la reprise.... et au final chez lui ils ne produisent pas mieux que les autres.
Ca fait une jolie plantation, très "ordonné", le développement est moindre, les arbres sont très homogènes, mais ça donne du 50% de producteurs, soit ni plus ni moins que les autre rob.... qu'il a planté la même année sur le même terrain, tous ne produisent pas de la même façon..... là aussi il y en a qui sortent du lot.
L'exemple du clone est pour moi révélatrice, ce n'est pas l'arbre qui fait la production, ça penche plutôt en faveur de la souche du champignon présente sur l'arbre.....
D'où l'idée de la greffe, ne croyez pas que je lance des idées au hasard.... l'avantage du clone coté développement de l'arbre mais avec le racinaire d'un plant issu de semi.
Le must: le semi en place en vue de récupérer si possible la génétique d'un champignon virulent et très bon producteur, suivi ensuite d'une greffe sur place un an avant arrachage..... ça demande deux ans d'élevage et de soin.... est ce insurmontable pour vous ?
Bon, je ne suis pas là pour faire du blabla, qui veux essayer ?
1) simple greffe sur une plantation de cet automne ou au printemps, objectif : simplement atténuer les caractères de juvénilité du jeune plant. Voir ce que ça donne, peut être moins de taille ?, production précoce.
2) Le must (pour ceux qui ne rêvent pas au fond de la classe): Atténuer les caractères de juvénilité du jeune plant, récupération d'une génétique intéressante......
Les risques:
1) AUCUN, si la greffe ne prend pas le plant se développera comme s'il n'avait pas été greffé.....
2) Ca ne coute pas un radis mais il y a le risque que le plant soit mal myco..... et qu'on ne récupère pas la génétique souhaitée.....
Coté pratique:
1) Pour ceux qui ne savent pas greffer il y a un rustica qui est pas mal pour ça.... pour ceux qui ont peur de ne pas y arriver et qui sont proche de chez moi je veux bien aider.... mais pas pour 10 arbres, il faut un échantillon qui ait du sens.
2) Il faut impérativement un arbre super producteur, godet ajouté diamètre 10/15 cm, semis de gland pré-germé, surtout pas d'apport de truffe, godet placé en limite de zone de production.... un outil spécial installé sur un cadre de sous-soleuse, le but étant au printemps suivant le semis d'aller couper les racines plongeantes sans toucher à l'arbre..... si nécessaire je veux bien aider aussi....
On peut en parler ici mais contact par MP, merci.
Joel
Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
jcr,
Le champignon truffe n'est pas équipé pour décomposer du bois, ce n'est pas son "métier"....
joel
Le champignon truffe n'est pas équipé pour décomposer du bois, ce n'est pas son "métier"....
joel
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Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
J Gravier
Merci pour ces explications sur ces arbres, j'ai jamais été attiré sur ce type de plants, à la vu des gros vases dans lequel ils étaient vendu.
pour tes expériences je n'ai malheureusement plus de place, faut que j'arrache et supprime des vieuxplantés en 83/84.
J'attends de voir ma dernière plantation il y a trois ans après brumale....avec surmyco et mes cistes.
Peut être un peu compliqué à faire mais pas irréalisable pour le commun démortel
Jm
Merci pour ces explications sur ces arbres, j'ai jamais été attiré sur ce type de plants, à la vu des gros vases dans lequel ils étaient vendu.
pour tes expériences je n'ai malheureusement plus de place, faut que j'arrache et supprime des vieuxplantés en 83/84.
J'attends de voir ma dernière plantation il y a trois ans après brumale....avec surmyco et mes cistes.
Peut être un peu compliqué à faire mais pas irréalisable pour le commun démortel
Jm
VAUCLUSE PIEDS DU VENTOUX NORD
"quoique l'on dise ou que l'on fasse le cul du rabassier sentira toujours le thym"
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Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
Bonjour gilou,
tu peux tenter les trois, en plaquage également..... prends du bois sur un arbre adulte et pourquoi pas sur un bon producteur, c'est pas le fait qu'il soit producteur qui m'intéresse, c'est "là ou il en est dans le déroulement de ce pourquoi il est génétiquement programmé", pour dire plus simple c'est un "adulte, mais pas encore un "vieux" du point de vue de la truffe....
Pour ceux qui ne savent pas, suivant ou est pris le greffon sur le donneur on a un comportement différent, sur des branches faibles/vigueur faible, repousses/vigueur forte..... à tempérer cependant, le porte greffe a aussi son mot à dire....
La greffe en plaquage aurait un avantage pour nous, car elle permet d'apporter sur le porte greffe une sommité apicale avec tous ses bourgeons, c'est plus difficile à réussir, mais si on a de l'expérience c'est jouable.....
tu peux tenter les trois, en plaquage également..... prends du bois sur un arbre adulte et pourquoi pas sur un bon producteur, c'est pas le fait qu'il soit producteur qui m'intéresse, c'est "là ou il en est dans le déroulement de ce pourquoi il est génétiquement programmé", pour dire plus simple c'est un "adulte, mais pas encore un "vieux" du point de vue de la truffe....
Pour ceux qui ne savent pas, suivant ou est pris le greffon sur le donneur on a un comportement différent, sur des branches faibles/vigueur faible, repousses/vigueur forte..... à tempérer cependant, le porte greffe a aussi son mot à dire....
La greffe en plaquage aurait un avantage pour nous, car elle permet d'apporter sur le porte greffe une sommité apicale avec tous ses bourgeons, c'est plus difficile à réussir, mais si on a de l'expérience c'est jouable.....
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Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
Bon ok il est donc différent des autres myceliumsJ Gravier a écrit :jcr,
Le champignon truffe n'est pas équipé pour décomposer du bois, ce n'est pas son "métier"....
joel
Mais que faut il lui apporter en nourriture alors ?
Cdlt. Jcr
Si tes résultats ne sont pas à la hauteur de tes espérances dis toi que le grand chêne aussi, un jour a été un gland.
Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
Tu as raison Gilou, il ne faut pas tomber dans l'excès. Il y en a qui vont dépenser des fortunes pour faire des forages, pour exploiter de l'eau minérale fossile qui dans certains cas est potable pour la mettre sur leur truffière.ce dont je voulais parler c'est que il ne faut pas non plu tomber dans trop de zele comme certains ! se balader avec le thermometr, derouler des km de bidil , sur un demi voire 1 hc bon allez ok , mais sur 4 ou5 c'est aberrant on fait comment, on en commende 10 semis remorq, et 500 thermometr?
Déontologiquement, tu ne peux pas savoir comment ça me choque de destiner à l'irrigation cette eau qui pourrait être si utile aux populations humaines.
Comment faire cesser cette abbération?
Fred
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Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
Bonjour,
On sait que les produits carbonés (sucres) passent de l'arbre au champignon, c'est donc l'arbre qui nourrit le champignon.
Ce dernier en échange lui fournit eau et sels minéraux.
On ne peut donc parler de nourrir le champignon.....
Le facteur que l'on commence à cerner est l'irrigation; pour les autres apports on cherche encore.....
Michel.
Il ne faut pas tenir compte du champignon seul, mais de "l'équipe symbiotique" champignon + arbre.Jcrtruffe a écrit :Mais que faut il lui apporter en nourriture alors ?
On sait que les produits carbonés (sucres) passent de l'arbre au champignon, c'est donc l'arbre qui nourrit le champignon.
Ce dernier en échange lui fournit eau et sels minéraux.
On ne peut donc parler de nourrir le champignon.....
Le facteur que l'on commence à cerner est l'irrigation; pour les autres apports on cherche encore.....
Michel.
Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
Bonsoir jcr,
il n'est pas le seul à ne pas savoir faire, disons que ce n'est pas un saprotrophe.....
Ce dont il a besoin ? précisément on en sait rien !! et c'est là notre problème, c'est pour cette raison qu'on a jamais fait d'agronomie en trufficulture, c'est tout simplement impossible, on a aucun élément.
La seule chose qu'on sache, mais ce n'est pas spécifique à la truffe, c'est que les champignons mycorhiziens sont capables de s'attaquer aux minéraux pour en extraire du fer, du phosphore ...etc.... pour les restituer en partie aux arbres.
Il faudrait surveiller le sol autour d'un arbre producteur, pour voir si à un moment donné une carence apparaît, il n'y a pas d'autres moyens pour savoir....
Je pense que la plupart du temps tout est disponible en quantité suffisante dans le sol, mais au bout d'un moment il y a peut être un déficit..... pour le champignon truffe bien sur....
Dans la nature c'est une autre histoire, la truffe n'est là qu'en attendant le relais d'autres champignons, le sol évolue, il reçoit de la MO par la chute des feuilles, la chute des glands, le renouvellement naturel des racines + les végétaux qui poussent à proximité....
Soumise à la décomposition et à l'action des saprotrophes la MO libère des éléments qui retournent au sol et peuvent être à nouveau assimilés par l'arbre.... la boucle est bouclée.... rien ne se perd, tout se transforme.....
Joel
il n'est pas le seul à ne pas savoir faire, disons que ce n'est pas un saprotrophe.....
Ce dont il a besoin ? précisément on en sait rien !! et c'est là notre problème, c'est pour cette raison qu'on a jamais fait d'agronomie en trufficulture, c'est tout simplement impossible, on a aucun élément.
La seule chose qu'on sache, mais ce n'est pas spécifique à la truffe, c'est que les champignons mycorhiziens sont capables de s'attaquer aux minéraux pour en extraire du fer, du phosphore ...etc.... pour les restituer en partie aux arbres.
Il faudrait surveiller le sol autour d'un arbre producteur, pour voir si à un moment donné une carence apparaît, il n'y a pas d'autres moyens pour savoir....
Je pense que la plupart du temps tout est disponible en quantité suffisante dans le sol, mais au bout d'un moment il y a peut être un déficit..... pour le champignon truffe bien sur....
Dans la nature c'est une autre histoire, la truffe n'est là qu'en attendant le relais d'autres champignons, le sol évolue, il reçoit de la MO par la chute des feuilles, la chute des glands, le renouvellement naturel des racines + les végétaux qui poussent à proximité....
Soumise à la décomposition et à l'action des saprotrophes la MO libère des éléments qui retournent au sol et peuvent être à nouveau assimilés par l'arbre.... la boucle est bouclée.... rien ne se perd, tout se transforme.....
Joel
Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
concernant une phase saprophytique il me semble que cela a déjà été évoqué dans le forum à propos de l'indépendance ou non de la truffette chose encore non résolue, en ce qui me concerne j'ai toujours en mémoire l'exemple des souches d vignes en bordure de bois qui produisent mélano dont le bois, les racines étaient attaquées , altérations
Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
Salut Gilou,
À ma connaissance, on est deux sur le forum à utiliser du bidim d'autoroute. Donc, si cette attaque n'était pas contre moi, c'était contre Stef. Il va être ravi d'apprendre que tu le charges.
On comptera les truffes à la fin de l'hiver. Moi avec mon bidim, toi avec ton eau minérale.
Je te souhaite une bonne saison.
Fred
À ma connaissance, on est deux sur le forum à utiliser du bidim d'autoroute. Donc, si cette attaque n'était pas contre moi, c'était contre Stef. Il va être ravi d'apprendre que tu le charges.
On comptera les truffes à la fin de l'hiver. Moi avec mon bidim, toi avec ton eau minérale.
Je te souhaite une bonne saison.
Fred
Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
Tire plutôt le bidim...
Fred
Fred
Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
Bonsoir
J ai l impression que l arbre producteur peut a un moment donne de son evolution biologique se passer du champignon comme si un autre avait pris le relais..
Un autre champignon beaucoup plus performant ..
Mais je peux me tromper et c est surment le cas ..
A moins que l arbre deviennent autonome et capte lui meme ses mineraux..
Malheureusement j ai pas les capacites d allez plus loin ..
Alors vous voyez qui il y a creuser..
Fabrice
J ai l impression que l arbre producteur peut a un moment donne de son evolution biologique se passer du champignon comme si un autre avait pris le relais..
Un autre champignon beaucoup plus performant ..
Mais je peux me tromper et c est surment le cas ..
A moins que l arbre deviennent autonome et capte lui meme ses mineraux..
Malheureusement j ai pas les capacites d allez plus loin ..
Alors vous voyez qui il y a creuser..
Fabrice
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Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
Rabasse
Le mycélium doit être avide de tanins et des subtances qu'il contient.
J'ai observé qu'un arbre produisait autour d'une souche morte en décomposition, une fois que j'ai arraché la souche la production a cessé.
Aussi maintenant au lieu de brûler mes branches de taille je les broie.
Jm
Le mycélium doit être avide de tanins et des subtances qu'il contient.
J'ai observé qu'un arbre produisait autour d'une souche morte en décomposition, une fois que j'ai arraché la souche la production a cessé.
Aussi maintenant au lieu de brûler mes branches de taille je les broie.
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VAUCLUSE PIEDS DU VENTOUX NORD
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Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
Bonjour à vous tous
Comme d'habitude, sur ces sujets complexes et délicats nos échanges sont nombreux, passionnés et parfois débordants ...
Mais c'est bien là tout l'intérêt de notre forum, confronter nos expériences et notre compréhension sur ce que chacun d'entre nous vit au plus profond de ses expériences.
Alors bien sur nous pouvons ne pas être d'accord avec tel ou tel, c'est bien l'objet de nos échanges mais nous devons pouvoir l'exprimer dans le respect de ceux avec qui nous ne sommes pas en accord.
C'est le dialogue, dont le but est la recherche de la vérité. Pour nous cette vérité c'est la recherche du Graal. Et lorsque nous l'aurons trouvé, alors plus de dialogue, quelle tristesse ....
Comme d'habitude, sur ces sujets complexes et délicats nos échanges sont nombreux, passionnés et parfois débordants ...
Mais c'est bien là tout l'intérêt de notre forum, confronter nos expériences et notre compréhension sur ce que chacun d'entre nous vit au plus profond de ses expériences.
Alors bien sur nous pouvons ne pas être d'accord avec tel ou tel, c'est bien l'objet de nos échanges mais nous devons pouvoir l'exprimer dans le respect de ceux avec qui nous ne sommes pas en accord.
C'est le dialogue, dont le but est la recherche de la vérité. Pour nous cette vérité c'est la recherche du Graal. Et lorsque nous l'aurons trouvé, alors plus de dialogue, quelle tristesse ....
Jacques 37
Re: Faire durer la production longtemps en intégré.
Bonjour à tous,
Regarde, certains membres du forum nous expliquent (avec beaucoup de patience et leur vérité) comment produire avec une certaine pérennité ( en contenant le brulé), certains y arrivent d'autres cherchent encore, parce qu'il nous faut prendre en considération le phénomène pédoclimatique propre à chaque station trufficole (perso je suis en train de me demander si mon sous-sol est assez drainant )...
Au contraire Jacques, et si justement le fait de réussir à domestiquer cette culture pourrait devenir très enrichissant vecteur d'emploi donc de richesse, dialogue social et de retour à la ruralité dans nos campagnes si vides...
J'ai un rêve, celui de produire de la truffe pour la transformer sur place (offrant un produit de première qualité) en créant un petit restaurant dans la ferme..
Si l'on réussit à contenir cette production, Joël nous invite à chercher comment conserver le caractère juvénile/adulte de l'arbre avec une souche de melano performante ayant fait ses preuves si j'ai bien compris..
Je pense que le dialogue est loin d'être terminé, enfin je le souhaite sincèrement, et je pense même qu'au final la trufficulture est très jeune et avance grâce à ce site.
Rien de personnel contre toi J'expose juste un point de vue différent .
Michel.
Jacques, je ne suis pas d'accord avec toijacques 37 a écrit : Pour nous cette vérité c'est la recherche du Graal. Et lorsque nous l'aurons trouvé, alors plus de dialogue, quelle tristesse ....
Regarde, certains membres du forum nous expliquent (avec beaucoup de patience et leur vérité) comment produire avec une certaine pérennité ( en contenant le brulé), certains y arrivent d'autres cherchent encore, parce qu'il nous faut prendre en considération le phénomène pédoclimatique propre à chaque station trufficole (perso je suis en train de me demander si mon sous-sol est assez drainant )...
Au contraire Jacques, et si justement le fait de réussir à domestiquer cette culture pourrait devenir très enrichissant vecteur d'emploi donc de richesse, dialogue social et de retour à la ruralité dans nos campagnes si vides...
J'ai un rêve, celui de produire de la truffe pour la transformer sur place (offrant un produit de première qualité) en créant un petit restaurant dans la ferme..
Si l'on réussit à contenir cette production, Joël nous invite à chercher comment conserver le caractère juvénile/adulte de l'arbre avec une souche de melano performante ayant fait ses preuves si j'ai bien compris..
Je pense que le dialogue est loin d'être terminé, enfin je le souhaite sincèrement, et je pense même qu'au final la trufficulture est très jeune et avance grâce à ce site.
Rien de personnel contre toi J'expose juste un point de vue différent .
Michel.