Moustiic a écrit : 05 août 2021 08:15
bernard a écrit : 30 juil. 2021 12:45
Il y a près de 50 ans en France on enseignait aux étudiants en médecine de ne pas vacciner en cas d'épidémie car cela entraine des variants. Avant de vacciner il faudrait tester et ne pas vacciner les cas positifs car c'est ceux là qui entrainent les variants. C'est bien le constat que l'on peut faire.
Bonjour,
Ce matin sur France Inter, Karine Lacombe, chercheuse infectiologue, disait que vacciner n'entrainait pas de variants ......
Certes, 5 décennies séparent ces deux thèses .......
Au printemps 2020, Sibeth N'Diaye nous disait avec insolence, que les masques ne servaient à rien, puis qqs jours plus tard cherchant à "justifier" ses dires, qu'il fallait savoir les ajuster sur le visage .........
Aujourd'hui des grèves sont annoncées par ceux du monde médical, pompiers, qui sont contre la vaccination obligatoire ........
Qui croire ?
AVEC 212000€PAYES PAR LES LABOS ON PEUT EN DIRE DE CHOSES
WIKIPEDIA :
Le 23 mars 2020, Karine Lacombe intervient dans le Journal de 13 heures de France 2, où elle est interrogée sur les travaux de l’équipe de Didier Raoult autour de l’utilisation de l’hydroxychloroquine comme médicament contre la Covid-1928,29. Elle critique les méthodes de ses confrères : « Sur la base d'un essai qui est absolument contestable sur le plan scientifique et qui ne montre absolument rien quand on regarde exactement les chiffres et la façon dont il a été mené, on expose les gens à un faux espoir de guérison. Utiliser un médicament comme ça, hors AMM, c’est-à-dire hors autorisation de mise sur le marché, en exposant les personnes qui le prennent à des complications, sans avoir vérifié les conditions de base de la chloroquine, je pense que c’est en dehors de toute démarche éthique »29. Elle se dit « peinée que des scientifiques de renom comme [ses] collègues de Marseille se soient engagés dans une action de ce type-là »30.
Le même jour, à la suite de cette intervention télévisée, le député de la 6e circonscription des Français de l’étranger Joachim Son-Forget, lui-même médecin, interpelle Karine Lacombe sur Twitter en évoquant des conflits d’intérêts, au motif qu'elle a touché de l’argent d’AbbVie, qui produit le Kaletra, et de Gilead, qui produit le remdesivir, « les deux alternatives à l’hydroxychloroquine »29. Lacombe répond qu’elle est uniquement rémunérée pour son « expertise », qu’elle n’a pas perdu son indépendance vis-à-vis des entreprises, et qu’elle ne cache pas ses liens29. Elle précise que ses interventions ne concernaient que ses domaines de spécialité, l’hépatite C et le VIH et qu’elle n’a aucun lien avec l’essai clinique européen Discovery ayant pour but de tester des antiviraux contre le coronavirus SARS-CoV-231.
Il s'ensuit injures, intimidation et menaces physiques, selon Karine Lacombe, qui quelques semaines plus tard désactive temporairement ses comptes sur les réseaux sociaux tels que Twitter8,32,33,34.
Le 25 juin 2020, interrogée par la commission parlementaire Covid-19 sur ses liens avec l'industrie pharmaceutique et les éventuels conflits d'intérêts, elle rappelle que les liens d'intérêt sont strictement encadrés par la loi qui limite les avantages que peuvent recevoir les professionnels de santé aux « défraiements » d'activités de recherche ou de conseil, et aux frais de repas, de transport ou d'hébergement « pour des manifestations à caractère exclusivement professionnel et scientifique ». Concernant ses déclarations sur le fait que l'efficacité de l'hydroxychloroquine dans le traitement du Covid-19 n'était pas prouvée, elle fait valoir : « je ne me suis pas opposée à quelque scientifique que ce soit, […] je ne me suis pas non plus opposée à une molécule. J'ai simplement essayé d'apporter un regard critique […] sur la façon dont un essai pouvait être fait. Il est très important, quand on porte une conclusion qui peut avoir un impact majeur en termes de santé publique, d'avoir des données qui sont solides »35.