Conditions et suivi des naissances.
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Re: Conditions et suivi des naissances.
Cette saison est encore étrange. La végétation a pourtant démarré nettement en avance mais j'ai vu sur les morilles et les st georges que ces champignons n'ont pas suivi ce même mouvement ...
Sais tu quelle quantité d'eau tu as eu en avril ?
Seb
Sais tu quelle quantité d'eau tu as eu en avril ?
Seb
contrairement au doute, seule la certitude rend fou
Re: Conditions et suivi des naissances.
tuber01,bonjour.
oui, j'ai eu 136 mm avril et mai à ce jour 40 mm
oui, j'ai eu 136 mm avril et mai à ce jour 40 mm
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Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonjour et merci Lubin.
J'ai une petite question concernant la recherche des truffettes et le travail du sol.
Une fois une zone exploité /explorer de recherche est ce que tu reviens plus tard chercher sur cette zone ou bien c'est fini tu n' en trouvera plus sur ces endroits fouiller.
Car souvent on ne prolonge pas le travail ( après la fin mai) par crainte de bloquer les naissances .
ton avis la dessus ?
Encore merci
PS lundi je bâche trois bon producteur...
J'ai une petite question concernant la recherche des truffettes et le travail du sol.
Une fois une zone exploité /explorer de recherche est ce que tu reviens plus tard chercher sur cette zone ou bien c'est fini tu n' en trouvera plus sur ces endroits fouiller.
Car souvent on ne prolonge pas le travail ( après la fin mai) par crainte de bloquer les naissances .
ton avis la dessus ?
Encore merci
PS lundi je bâche trois bon producteur...
Re: Conditions et suivi des naissances.
bonsoir à tous
Stef,pour répondre à votre question je prélève à 5 cm de profond, et je ne cherche plus à cet endroit mais juste à côté de celui-ci il s'avère que j'en trouve à nouveau avec un prélèvement de 5cm,sur un carré de 15x15 sous les arbres travaillés,sur les truffières naturelles il arrive souvent que le plus où on en trouve c'est même pas à 2cm sous terre elles sont plus en surface et très souvent en juillet celles-ci sont déjà mortes,dû très certainement à la chaleur excessive de la surface,mais je pense que plus profond il doit y en avoir d'autres,mais cela prend beaucoup beaucoup de temps.Je vais demain dans le Tarn/Garonne lever des pièges(expérience) du printemps 2013 pour voir ce que l'on va y trouver dedans, et renouveler fin juin
Pour moi du travail tardif avril,mai, est néfaste,car tout ce met en place pour la fructification et quand on voit la fragilité du mycélium je pense que l'on doit détruire beaucoup de chose et sauf le contraire on ne peut quantifier la perte que l'on occasionne vu qu'on ne peut peser les truffes perdues,et que l'on pense que la production ne s'en est pas ressentie, faute de ne pas savoir ce que l'on a abîmé.
Pour moi je ne travaille plus les brûlés à partir de fin mars(tous les producteurs)par contre les arbres de moins de 5 ans c'est tous les deux mois que je les travaille à la main,ils sont toujours propre .
lubin
Stef,pour répondre à votre question je prélève à 5 cm de profond, et je ne cherche plus à cet endroit mais juste à côté de celui-ci il s'avère que j'en trouve à nouveau avec un prélèvement de 5cm,sur un carré de 15x15 sous les arbres travaillés,sur les truffières naturelles il arrive souvent que le plus où on en trouve c'est même pas à 2cm sous terre elles sont plus en surface et très souvent en juillet celles-ci sont déjà mortes,dû très certainement à la chaleur excessive de la surface,mais je pense que plus profond il doit y en avoir d'autres,mais cela prend beaucoup beaucoup de temps.Je vais demain dans le Tarn/Garonne lever des pièges(expérience) du printemps 2013 pour voir ce que l'on va y trouver dedans, et renouveler fin juin
Pour moi du travail tardif avril,mai, est néfaste,car tout ce met en place pour la fructification et quand on voit la fragilité du mycélium je pense que l'on doit détruire beaucoup de chose et sauf le contraire on ne peut quantifier la perte que l'on occasionne vu qu'on ne peut peser les truffes perdues,et que l'on pense que la production ne s'en est pas ressentie, faute de ne pas savoir ce que l'on a abîmé.
Pour moi je ne travaille plus les brûlés à partir de fin mars(tous les producteurs)par contre les arbres de moins de 5 ans c'est tous les deux mois que je les travaille à la main,ils sont toujours propre .
lubin
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Re: Conditions et suivi des naissances.
Merci Lubin pour ces superbes photos, et se retour d'expérience pratique.
Jean-mi,
Jean-mi,
Jeanmi,
Re: Conditions et suivi des naissances.
merci Lubin pour ces infos.
Seb
Seb
contrairement au doute, seule la certitude rend fou
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Re: Conditions et suivi des naissances.
Tres instructif merci
Je voulais bâcher mais il nous annoncent 30 ° pour la fin de semaine ce sera pas nécessaire...
Stef
Je voulais bâcher mais il nous annoncent 30 ° pour la fin de semaine ce sera pas nécessaire...
Stef
Re: Conditions et suivi des naissances.
Je vais quand même en pailler un pour voir et mettre un flower power enterré dessous avec comme témoin, un arbre voisin sans paillage. On verra au moins comment se comporte la température sous la bâche.
Fred
Fred
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Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonjour à tous;
je continue de "ruminer" autour des photos de Lubin ( bravo Lubin ! ) et des réflexions et cogitations qu'elles ont engendrées :
- on a vu des spores germer .
- on a vu des hyphes issus de cette germination ( récente ) fusionner ( fusion plasmatique ).
- on n'a pas de certitude sur le fait que, dans la nature, cette fusion plasmatique se produise aussi tôt après germination ... on est même enclin à penser que la précocité observée est peut-être artificielle (au sens de "artefact" : provoqué par les conditions d'expérimentation ) ... mais on n'en sait rien ...
- on sait que la truffe est composée de gléba haploïde et d'asques diploïdes.
A-t-on des informations - et/ou des idées - sur la chronologie des évènements :
- Début de formation de la truffette. Est-elle bien haploïde à sa naissance ?
- Début de formation des asques.
- Sont-ils vraiment bien diploïdes dès le début, c'est-à-dire issus de fusion plasmatique ?
Il me semble fondamental de pouvoir bien recomposer le film des évènements qui arrivent à la formation de la truffe : je crois me rappeler qu'au colloque SysTruf du Pont du Gard, M.-A. Selosse ( je ne suis pas sûr ) , nous avait dit quelquechose d'important sur une diploïdie dans la truffette dès sa naissance ... mais quoi exactement ?
Il serait cohérent et satisfaisant de pouvoir observer et affirmer que la truffette commence par une pelote d'hyphes-mère haploïdes, au sein de laquelle se trouverait un ou quelques hyphes-pères : la gléba commencerait de se développer à partir des hyphes-mères haploïdes, et des fusions plasmatiques se produiraient au sein de la pelote, permettant la formation des asques : C'est ce qui semblerait logique .
Est-ce que Lubin ou d'autres ont analysé de très-très jeunes truffettes ( microscope, chromosomes ... ) pour pouvoir dire ce qui les constitue ? N'est-il pas imaginable qu'en se concentrant à fond sur une telle analyse de très jeunes truffettes, on arrive à déterminer : - quels types d'hyphes sont premiers ? - si la truffette à la naissance est autonome ou radicello-dépendante ? - à partir de quel moment il y a des asques puis de spores ? si elle est autonome, quand et comment se connecte-t-elle aux radicelles ? Et alors, comment considérer les mycorhizes ?
Désolé : je ne fais que poser des questions sans apporter la moindre réponse, mais peut-être qu'en réfléchissant encore et encore, et en observant encore et encore ( du moins pour ceux qui sont équipés pour ), on arrivera à clarifier comment ça se passe, et, - graal !!! - favoriser le développement et la production des truffes ...
Merci de vos lumières; j'espère que vous trouverez mes questions constructives ...
Cordialement,
MartinduGard
je continue de "ruminer" autour des photos de Lubin ( bravo Lubin ! ) et des réflexions et cogitations qu'elles ont engendrées :
- on a vu des spores germer .
- on a vu des hyphes issus de cette germination ( récente ) fusionner ( fusion plasmatique ).
- on n'a pas de certitude sur le fait que, dans la nature, cette fusion plasmatique se produise aussi tôt après germination ... on est même enclin à penser que la précocité observée est peut-être artificielle (au sens de "artefact" : provoqué par les conditions d'expérimentation ) ... mais on n'en sait rien ...
- on sait que la truffe est composée de gléba haploïde et d'asques diploïdes.
A-t-on des informations - et/ou des idées - sur la chronologie des évènements :
- Début de formation de la truffette. Est-elle bien haploïde à sa naissance ?
- Début de formation des asques.
- Sont-ils vraiment bien diploïdes dès le début, c'est-à-dire issus de fusion plasmatique ?
Il me semble fondamental de pouvoir bien recomposer le film des évènements qui arrivent à la formation de la truffe : je crois me rappeler qu'au colloque SysTruf du Pont du Gard, M.-A. Selosse ( je ne suis pas sûr ) , nous avait dit quelquechose d'important sur une diploïdie dans la truffette dès sa naissance ... mais quoi exactement ?
Il serait cohérent et satisfaisant de pouvoir observer et affirmer que la truffette commence par une pelote d'hyphes-mère haploïdes, au sein de laquelle se trouverait un ou quelques hyphes-pères : la gléba commencerait de se développer à partir des hyphes-mères haploïdes, et des fusions plasmatiques se produiraient au sein de la pelote, permettant la formation des asques : C'est ce qui semblerait logique .
Est-ce que Lubin ou d'autres ont analysé de très-très jeunes truffettes ( microscope, chromosomes ... ) pour pouvoir dire ce qui les constitue ? N'est-il pas imaginable qu'en se concentrant à fond sur une telle analyse de très jeunes truffettes, on arrive à déterminer : - quels types d'hyphes sont premiers ? - si la truffette à la naissance est autonome ou radicello-dépendante ? - à partir de quel moment il y a des asques puis de spores ? si elle est autonome, quand et comment se connecte-t-elle aux radicelles ? Et alors, comment considérer les mycorhizes ?
Désolé : je ne fais que poser des questions sans apporter la moindre réponse, mais peut-être qu'en réfléchissant encore et encore, et en observant encore et encore ( du moins pour ceux qui sont équipés pour ), on arrivera à clarifier comment ça se passe, et, - graal !!! - favoriser le développement et la production des truffes ...
Merci de vos lumières; j'espère que vous trouverez mes questions constructives ...
Cordialement,
MartinduGard
Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonjour Martin.
Grâce aux trufettes fournies par Lubin, les chercheurs ont pu démontrer que le père est présent dès un stade très précoce.
Pour avoir des truffes en très grande quantité, il ne sert pas à grand chose de savoir comment se forment les truffettes mais le plus important est de savoir comment mener au bout une bonne partie des innombrables truffettes qui naissent tous les ans sous les arbres.
Celui qui serait capable de sauver ces truffettes serait très rapidement très riche.
Le soucis, c'est ce qui se passe après les naissances qui ne semblent pas poser de problème dans la nature. Comment se tisse le lien entre la truffette et l'arbre? C'est ce tuyau qu'il faut trouver.
Fred
Grâce aux trufettes fournies par Lubin, les chercheurs ont pu démontrer que le père est présent dès un stade très précoce.
Pour avoir des truffes en très grande quantité, il ne sert pas à grand chose de savoir comment se forment les truffettes mais le plus important est de savoir comment mener au bout une bonne partie des innombrables truffettes qui naissent tous les ans sous les arbres.
Celui qui serait capable de sauver ces truffettes serait très rapidement très riche.
Le soucis, c'est ce qui se passe après les naissances qui ne semblent pas poser de problème dans la nature. Comment se tisse le lien entre la truffette et l'arbre? C'est ce tuyau qu'il faut trouver.
Fred
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Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonsoir, Fred ; et merci de ton attention ;
Et si, sur 1000 truffettes nées sous mon CP 28/15, seulement 30 étaient ( déjà ) connectées à des radicelles nourricières ? ... ( ce qui , peut-être, pourrait seul leur permettre de survivre ) .
Et si, sur 100 truffettes nées sous mon CV 14/07 , seulement 5 comportaient des hyphes-pères ?
Et si ... Et si ..... ... et encore : combien de mal-foutues, de tordues, de "mal-cuites" ?
Et je ne parle pas des mulots, des vers, des larves de Suillia Gigantea, des sangliers (
) ...
Maintenant, une des lois incontournables de la vie c'est l'incroyable déperdition de potentiel-reproduction :
- Sur les milliers de milliards de spermatozoïdes que j'ai produits, combien ont donné des bébés ? ( 6 ! ) .
- Sur les 300 à 500 ovules que produit une femme, combien donnent des bébés ? ( 1 à 15 ? )
- Sur tous les ovules fécondés, combien donnent un bébé à terme ? ... après ça, ça s'améliore ...
Tu me diras que, pour la truffe, le nombre de spores produites, par rapport au nombre de naissance de truffettes, suffit à assurer la déperdition observée chez les mammifères entre la production de gamètes mâles et le nombre d'ovules fécondés .... d'accord ... mais on est chez les champignons : peut-être que la déperdition normale et naturelle de truffettes se produit à un stade plus avancé ???
Tout ça pour dire quoi ?
Que, bien sûr on peut se dire que si on arrivait à conduire à maturité 10 % seulement des truffettes qui naissent, on serait les champions, ...
Mais que, peut-être, c'est un leurre inaccessible, car la truffette est peut-être configurée pour ne survivre qu'à 0,1% ou moins, pour toutes sortes de raisons qui ne nous apparaissent pas, notamment parceque nous ne maîtrisons pas les tenants et aboutissants de cette reproduction ...
Allez ! ... on est dans la philosophie , ou pas loin ...
A+
Cordialement,
MartinduGard
Et si, sur 1000 truffettes nées sous mon CP 28/15, seulement 30 étaient ( déjà ) connectées à des radicelles nourricières ? ... ( ce qui , peut-être, pourrait seul leur permettre de survivre ) .
Et si, sur 100 truffettes nées sous mon CV 14/07 , seulement 5 comportaient des hyphes-pères ?
Et si ... Et si ..... ... et encore : combien de mal-foutues, de tordues, de "mal-cuites" ?
Et je ne parle pas des mulots, des vers, des larves de Suillia Gigantea, des sangliers (

Maintenant, une des lois incontournables de la vie c'est l'incroyable déperdition de potentiel-reproduction :
- Sur les milliers de milliards de spermatozoïdes que j'ai produits, combien ont donné des bébés ? ( 6 ! ) .
- Sur les 300 à 500 ovules que produit une femme, combien donnent des bébés ? ( 1 à 15 ? )
- Sur tous les ovules fécondés, combien donnent un bébé à terme ? ... après ça, ça s'améliore ...
Tu me diras que, pour la truffe, le nombre de spores produites, par rapport au nombre de naissance de truffettes, suffit à assurer la déperdition observée chez les mammifères entre la production de gamètes mâles et le nombre d'ovules fécondés .... d'accord ... mais on est chez les champignons : peut-être que la déperdition normale et naturelle de truffettes se produit à un stade plus avancé ???
Tout ça pour dire quoi ?
Que, bien sûr on peut se dire que si on arrivait à conduire à maturité 10 % seulement des truffettes qui naissent, on serait les champions, ...
Mais que, peut-être, c'est un leurre inaccessible, car la truffette est peut-être configurée pour ne survivre qu'à 0,1% ou moins, pour toutes sortes de raisons qui ne nous apparaissent pas, notamment parceque nous ne maîtrisons pas les tenants et aboutissants de cette reproduction ...
Allez ! ... on est dans la philosophie , ou pas loin ...
A+
Cordialement,
MartinduGard
Re: Conditions et suivi des naissances.
+ 1 Lubin. Cette année, j'ai travaillé la parcelle sous la maison mi mars. Un mois plus tard, je suis revenu rebidouillé sous les arbres. Eh bien, j'ai visiblement tout cassé où j'ai gratté. La preuve en image...Pour moi du travail tardif avril,mai, est néfaste,car tout ce met en place pour la fructification et quand on voit la fragilité du mycélium je pense que l'on doit détruire beaucoup de chose et sauf le contraire on ne peut quantifier la perte que l'on occasionne vu qu'on ne peut peser les truffes perdues,et que l'on pense que la production ne s'en est pas ressentie, faute de ne pas savoir ce que l'on a abîmé.
Martin, une truffette n'est pas programmée pour survivre à 0,1%. Si elle est faite, c'est pour survivre à 100%. Si on compare avec ce qui se passe dans le monde animal avec les espèces à stratégie de reproduction r basée sur le nombre, hormis quelques pourcents de jeunes malformés qui meurent pour des raisons internes, la majorité des larves / alevins / jeunes périssent pour des raisons externes comme la prédation, la compétition intra ou inter spécifique, des problèmes d'accès ou d'abondance des ressources trophiques...
Il n'y a pas de raisons que ça ne soit pas pareil pour la truffe.
Fred
Vous ne pouvez pas consulter les pièces jointes insérées à ce message.
Re: Conditions et suivi des naissances.
bonsoir à tous
Martindugard la truffette en naissant elle à le + et le - Elle faite de fin mycélium(gléba) et de grosses hyphes.Se forme au milieu de la truffette les premières asques,puis vers le péridium au fur et à mesure de son grossissement,et commencent à se former dans les premières les spores.L'asque se forme après l’accouplement des 2 mycéliums fins de la gléba le crozier qui va faire un mycélium ascogène auquel du bout se formera l'asque elle devient diploïde et aura des spores +et -
Lubin
Martindugard la truffette en naissant elle à le + et le - Elle faite de fin mycélium(gléba) et de grosses hyphes.Se forme au milieu de la truffette les premières asques,puis vers le péridium au fur et à mesure de son grossissement,et commencent à se former dans les premières les spores.L'asque se forme après l’accouplement des 2 mycéliums fins de la gléba le crozier qui va faire un mycélium ascogène auquel du bout se formera l'asque elle devient diploïde et aura des spores +et -
Lubin
Re: Conditions et suivi des naissances.

suite photo de gleba de truffette naissante ce que l'on peut voir à l'intérieur avant de commencer les sporeslubin 81 a écrit :bonsoir à tous
Martindugard la truffette en naissant elle à le + et le - Elle faite de fin mycélium(gléba) et de grosses hyphes.Se forme au milieu de la truffette les premières asques,puis vers le péridium au fur et à mesure de son grossissement,et commencent à se former dans les premières les spores.L'asque se forme après l’accouplement des 2 mycéliums fins de la gléba le crozier qui va faire un mycélium ascogène auquel du bout se formera l'asque elle devient diploïde et aura des spores +et -
Lubin
Re: Conditions et suivi des naissances.
bonjour,
bravo lubin, je suis sans voie devant autant de precisions.
je ne comprend pas pourquoi tu arrives a de telles conclusions alors que les scientifiques patinent dans la semoule, de meme pour les photos exceptionnelles, qu ils n arrivent pas a faire;
je suis d accord sur le taux de survie, si de l energie est utilisé pour faire les truffettes, c est pas pour les laisser mourrir;
peut etre par contre qu un nombre tres important est fait pour compenser un taux important de perte naturel, comme chez les poissons par exemple ?
trufou
bravo lubin, je suis sans voie devant autant de precisions.
je ne comprend pas pourquoi tu arrives a de telles conclusions alors que les scientifiques patinent dans la semoule, de meme pour les photos exceptionnelles, qu ils n arrivent pas a faire;
je suis d accord sur le taux de survie, si de l energie est utilisé pour faire les truffettes, c est pas pour les laisser mourrir;
peut etre par contre qu un nombre tres important est fait pour compenser un taux important de perte naturel, comme chez les poissons par exemple ?
trufou