Il y a une contamination à l'intérieur par unci, c'est là que j'ai trouvé les plus grosses... Bon c'est ce que craignais, compliqué cette parcelle à l'intérieur si je ne peut ouvrir, à moins de racheter tout le bois et faire place net.
Ok merci.

Modérateurs : jacques 37, galistruffe, phil, uncinat55
Tu parles de la partie sous la ligne?Michel37 a écrit :Il y a une contamination à l'intérieur par unci
Il dit que pour qu'un sol soit fertile, il ne suffit pas qu'il y ait beaucoup de vie, il faut qu'il y ait beaucoup de morts.A la toute fin, est-ce qu'il dit bien que si le sol est très très vivant cela peut nuire à la culture?
C'est un postulat que je remet de plus en plus en question, de même que la truffe soit xérothermophile......tuber01 a écrit :"les sols pauvres" seraient les plus favorables
Michel, je reprends le terme xéro thermorphile et je tente d'y apporter un éclairage à travers les définitions retrouvées.bion a écrit :Bonjour,
C'est un postulat que je remet de plus en plus en question, de même que la truffe soit xérothermophile......
Michel.
Bonjour à tous,tuber01 a écrit : je ne pense pas que la trufficulture est du maraichage.
Seb
"Une guerre nucléaire" avait dit une grosse truffe..tuber01 a écrit : un bon sol est un sol en guerre comme dit l'intervenant. mais peut être que dans notre cas, un bon sol est un sol où mélano a gagné la bataille.
Seb
Tout dépends du sol, j'ai quand même pas mal d'argiles et si on veut un sol structuré, il faut de la MO avec les argiles, enfin c'est ce que je pense...bion a écrit :Bonjour,
C'est un postulat que je remet de plus en plus en question, de même que la truffe soit xérothermophile......tuber01 a écrit :"les sols pauvres" seraient les plus favorables
J'ai vu de belles réussites sur des sols que l'on ne peut pas qualifier de pauvres, en cas de sècheresse, nous passons notre temps à arroser, et s'il fait trop chaud on met des paillages..... ou on arrose encore
On a ensuite déduit que si les truffières ont été installées sur ce type de terrain, pauvres et sec, c'est parce que c'était les plus favorables à la truffe
C'est un principe admis encore aujourd'hui......
Michel.
C'est en effet ce qu'on peut lire sur beaucoup d'articles, manuels..... Dépassons les on-dit, mais en effet peut-être qu'à un moment de sa vie il serait préférable quelle ait un environnement plus xérothermophile, et un autre moment pour les faire gonfler pas trop chaud non plus et une certaine humidité, c'est cette compléxité qui m'attire.jacques 37 a écrit :Michel, je reprends le terme xéro thermorphile et je tente d'y apporter un éclairage à travers les définitions retrouvées.bion a écrit :Bonjour,
C'est un postulat que je remet de plus en plus en question, de même que la truffe soit xérothermophile......
Michel.
Source CNRTL
Xero : Qui est caractérisé par une forte sécheresse.
Thermophile : Qui préfère des températures élevées
Je ne pense pas donc, que ce terme puisse s’appliquait à la truffe.
Qu'elle est besoin de chaleur, sans doute.
Le fait qu'elle n'est pas besoin de beaucoup d'eau est sans doute également une réalité.
Que son besoin se résume par un besoin d'humidité est peut être là le secret de notre ascoscarpe ...