actualité scientifique autour de la truffe
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Re: actualité scientifique autour de la truffe
Salut Bion,
Dans l'article, ils disent que la masse de racinaire fin et la longueur des racines est identique dans toutes les modalités. Par contre, ils notent de grandes différences de croissance au niveau de l'appareil végétatif aérien. Ça interpelle ces résultats. Pourquoi on a plus de tronc, de branches, de feuilles sans avoir plus de racines? C'est en contradiction avec la théorie de la symétrie racines / aérien.
La croissance des arbres même arrosés est modérée si j'en juge par les diamètres des troncs. Il doit y avoir d'autres facteurs limitants.
Du coup le rayon racinaire ne semble pas si ridicule que ça a trois ans.
Autre remarque. Pour faire ce type de manip et d'optimisation, il faut avoir de l'ETr en mai et juin. C'est un vrai luxe pour des gars comme moi ou Seb dans l'Ain. Sur des années comme cette année, on n'a plus de pluie que d'evapotranspiration. On n'est pas en déficit hydrique mais en surplus. Bilan, on ne rentre même pas dans le cas de l'étude, on est avec des apports supérieur à l'evapotraniration. Elles doivent bien manger les mycorhizes... Snifff! Pour avoir un stress hydrique de 50% de l'ETP comme dans l'étude, il faudrait qu'on bâche nos arbres pour pas qu'il reçoivent d'eau de pluie. Tu imagines le délire.
Dernier regrets, les arbres ont été plantés en 2001. Seuls quelques arbres ont été arrachés. Ces truffières sont donc en production. On aurait bien aimé avoir les chiffres de production en fonction des diverses modalités d'arrosage testées...
Dans la suite?
Fred
Dans l'article, ils disent que la masse de racinaire fin et la longueur des racines est identique dans toutes les modalités. Par contre, ils notent de grandes différences de croissance au niveau de l'appareil végétatif aérien. Ça interpelle ces résultats. Pourquoi on a plus de tronc, de branches, de feuilles sans avoir plus de racines? C'est en contradiction avec la théorie de la symétrie racines / aérien.
La croissance des arbres même arrosés est modérée si j'en juge par les diamètres des troncs. Il doit y avoir d'autres facteurs limitants.
Du coup le rayon racinaire ne semble pas si ridicule que ça a trois ans.
Autre remarque. Pour faire ce type de manip et d'optimisation, il faut avoir de l'ETr en mai et juin. C'est un vrai luxe pour des gars comme moi ou Seb dans l'Ain. Sur des années comme cette année, on n'a plus de pluie que d'evapotranspiration. On n'est pas en déficit hydrique mais en surplus. Bilan, on ne rentre même pas dans le cas de l'étude, on est avec des apports supérieur à l'evapotraniration. Elles doivent bien manger les mycorhizes... Snifff! Pour avoir un stress hydrique de 50% de l'ETP comme dans l'étude, il faudrait qu'on bâche nos arbres pour pas qu'il reçoivent d'eau de pluie. Tu imagines le délire.
Dernier regrets, les arbres ont été plantés en 2001. Seuls quelques arbres ont été arrachés. Ces truffières sont donc en production. On aurait bien aimé avoir les chiffres de production en fonction des diverses modalités d'arrosage testées...
Dans la suite?
Fred
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Re: actualité scientifique autour de la truffe
Mais la figure 2 montre que la quantité d'eau a une incidence sur le nombre de racine.....melano a écrit :ils disent que la masse de racinaire fin et la longueur des racines est identique dans toutes les modalités
Comment peut t-il y avoir plus de racines à masse et longueur égales?
Moins de ramifications?
Diamètre plus faible?
Ou une subtilité dans la traduction qui m'a échappée

Michel
Re: actualité scientifique autour de la truffe
Bonjour à tous,
oui il y a une contradiction.... et oui les racines restent là ou il y a de l'humidité, le cas extrème c'est le goute à goute.
Pour moi irriguer sur 20/40 cm de diamètre est une erreur, il faudrait considérer d'entrée la future zone de production.
joel
oui il y a une contradiction.... et oui les racines restent là ou il y a de l'humidité, le cas extrème c'est le goute à goute.
Pour moi irriguer sur 20/40 cm de diamètre est une erreur, il faudrait considérer d'entrée la future zone de production.
joel
Re: actualité scientifique autour de la truffe
+1 merci Michelmelano a écrit :C'est nickel. Un grand merci Michel.![]()
Fred
"La truffe, c'est l'éternelle jeunesse!"
Re: actualité scientifique autour de la truffe
Bonjour,
MERCI à vous pour ce sujet très important;
Bon W/E JJR24
MERCI à vous pour ce sujet très important;
Bon W/E JJR24
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Re: actualité scientifique autour de la truffe
J'ai contacté ce matin l'un des auteurs (Antoni Olivera), qui m'a répondu rapidement.
J'ai effectivement mal traduit la légende du schéma N°2.
J'avais interprété l'expression "root tips" (bout de racines) comme "morceaux de racines"; en fait il faut traduire "tips" (bout) comme "extrémité" (ou apex)
L'irrigation à 50% de l'évapotranspiration favorise donc non pas la quantité de racine, mais leur ramification.
Traduction juste de la légende de la figure 2:
J'ai effectivement mal traduit la légende du schéma N°2.
J'avais interprété l'expression "root tips" (bout de racines) comme "morceaux de racines"; en fait il faut traduire "tips" (bout) comme "extrémité" (ou apex)
L'irrigation à 50% de l'évapotranspiration favorise donc non pas la quantité de racine, mais leur ramification.
Traduction juste de la légende de la figure 2:
Michel.Fig.2 Nombre d'apex de racines non colonisées, nombre d'apex de racines total (colonisé plus non colonisé) et abondance relative d'apex de racines ectomycorhizés , en réponse à cinq doses d'irrigation basées sur la valeur de 0, 25, 50, 75 et 100 % de l'évapotranspiration évaluée. Dans chaque paramètre, des barres verticales représentent ± ( ???1 SE???)
Re: actualité scientifique autour de la truffe
Fred, il n'y a jamais eu de symétrie aérien/racinaire, c'est un "on dit" (CM est de retour
) véhiculé depuis Bosredon... Quant au rapport aérien/racinaire, c'est le plus faible que l'on doit rechercher. On peut le faire artificiellement en taillant les arbres mais ça ne restera qu'artificiel. Arroser les arbres dans le Sud-ouest avant production c'est presque contraire à l'effet recherché (cf les composés phénoliques de Jérôme). Et enfin, arrêtez de raisonner en termes quantitatifs de photosynthèse, le problème est qualitatif!
Je pourrais en rajouter.
Renlo

Je pourrais en rajouter.
Renlo
Re: actualité scientifique autour de la truffe
Salut à tous,
Etude très intéressante et pour un coup accessible au niveau "wording"...
Le timing et les quantités d'eau à ajouter pour atteindre un max de myco mélano sur les jeunes requièrent quand même une sacré attention météo et connaissance de sa truffière... 50% de l'ETo en apport c'est pas 25 ni 100 !
Après rapide calcul vs. les données climato fourni ça fait du 30-40mm/mois (mai/juin/juillet), toutes les 2-3 semaines comme précisé dans l'étude en déduisant toute précipitation naturelle >15mm.
Autre question soulevée: une fois les arbres adultes faut-il maintenir ce système d'irriguation pour maximiser le nb de nouvelles myco mélano au lieu du ("traditionnel") arrosage estival visant la fructification ?
En effet, on aurait beau travailler le sol sur mars/avril, si la pluvio ne suit pas on n'atteindrait pas forcément le résultat escompté (augmentation de la densité racinaire et nouvelles mycos) voir on aggraverait la situation via une augmentation du stress hydrique très dommageable à cette saison (pic d'alimentation de l'hôte, prioritaire sur le champignon).
Sinon à votre avis est-ce que ca marche tout pareil pour les CP (en terme d'activité racinaire et de photosynthèse) ?!
Jean-Raph
PS bion : SE = Standard Error (of the mean ici) ou erreur type de la moyenne en Français --> pour faire simple plus l'écart est resserré, plus l'analyse statistique est fiable...
Etude très intéressante et pour un coup accessible au niveau "wording"...

Le timing et les quantités d'eau à ajouter pour atteindre un max de myco mélano sur les jeunes requièrent quand même une sacré attention météo et connaissance de sa truffière... 50% de l'ETo en apport c'est pas 25 ni 100 !
Après rapide calcul vs. les données climato fourni ça fait du 30-40mm/mois (mai/juin/juillet), toutes les 2-3 semaines comme précisé dans l'étude en déduisant toute précipitation naturelle >15mm.
Autre question soulevée: une fois les arbres adultes faut-il maintenir ce système d'irriguation pour maximiser le nb de nouvelles myco mélano au lieu du ("traditionnel") arrosage estival visant la fructification ?
En effet, on aurait beau travailler le sol sur mars/avril, si la pluvio ne suit pas on n'atteindrait pas forcément le résultat escompté (augmentation de la densité racinaire et nouvelles mycos) voir on aggraverait la situation via une augmentation du stress hydrique très dommageable à cette saison (pic d'alimentation de l'hôte, prioritaire sur le champignon).
Sinon à votre avis est-ce que ca marche tout pareil pour les CP (en terme d'activité racinaire et de photosynthèse) ?!
Jean-Raph
PS bion : SE = Standard Error (of the mean ici) ou erreur type de la moyenne en Français --> pour faire simple plus l'écart est resserré, plus l'analyse statistique est fiable...
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Re: actualité scientifique autour de la truffe
Bonjour,
Merci pour l'information.
Michel.
Merci pour l'information.
Michel.
Re: actualité scientifique autour de la truffe
Excuses nous de chercher pourquoi ça ne marche pas dans le sud-ouest Renlo parce que personne jusqu'à présent ne nous a jamais expliqué l'échec des plantations chez nous. Car il faut appeler un chat un chat. Tous les ans, Lot inclus, on plante des hectares et des hectares de plants très bien mycorhizés et tous les ans on attend une hausse significative de production. Ben rien, toujours rien, encore rien. Alors on accuse la météo, le froid, les printemps pourris, la sécheresse. Putain, vivement une année favorable pour que les jeunes truffières se mettent à cracher. J'en soupçonne même certains de descendre à Lourdes allumer des cierges pour qu'il pleuve en août.Et enfin, arrêtez de raisonner en termes quantitatifs de photosynthèse, le problème est qualitatif!
Mais le vrai truc, c'est que ça ne se met pas à cracher et qu'on se plante.
Je ne partage pas ton avis. Il y a bien le quantitatif qui rentre pour partie en ligne de compte. Il faut arriver à dépasser la masse critique de mycélium présent dans le sol pour passer le plus rapidement possible du bon coté de la balance. L'effet d'Allee et le temps sont nos principaux ennemis. Et le temps en trufficulture, on le combat avec la croissance racinaire, pour faire un maximum de racines fines support pour le champignon. Et ça, même si la symétrie dessus / dessous n'est pas rigoureuse, ça passe par un appareil végétatif aérien vigoureux et efficace.
Alors, oui, il ne faut pas faire n'importe quelle sorte de racines, on cherche une certaine qualité de racines fines mais non, un arbre sans feuille qui fait 50 cm de haut à 15 ans fera toujours moins de truffe qu'un arbre qui a une bonne croissance. Dans toutes les plantations, ce sont les arbres les mieux développés qui produisent en premier, ce n'est pas un hasard.
Après, je suis d'accord avec toi qu'il ne faut pas trop arroser les jeunes plants avant production. Ca peut même être néfaste.
Fred
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Re: actualité scientifique autour de la truffe
Bonjour Fred.
exemple chez moi j'ai autant arbres qui produise petit que bien développé , autre remarque j'ai des arbres qui sont sur 2 tiges et bien il produise les premier pourquoi ?......avez -vous le cas
pour la production il y a le terrain favorable, le travail en général et surtout un arrosage bien maitrisé suivant la présence argile et le climat , finalement beaucoup de chose.
a+jean claude
exemple chez moi j'ai autant arbres qui produise petit que bien développé , autre remarque j'ai des arbres qui sont sur 2 tiges et bien il produise les premier pourquoi ?......avez -vous le cas
pour la production il y a le terrain favorable, le travail en général et surtout un arrosage bien maitrisé suivant la présence argile et le climat , finalement beaucoup de chose.
a+jean claude
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Re: actualité scientifique autour de la truffe
melano
j'en suis persuadé, faut pas les forcer au contraire ralentir les pousses, les freiner jusqu'à 5/6 ans.
Sur ceux plantés en 2006 et avec cette méthode( 3 bonzaï )m'ont produit sans apport d'eau une truffe de + de 400gr.
jm
+ 1Après, je suis d'accord avec toi qu'il ne faut pas trop arroser les jeunes plants avant production. Ca peut même être néfaste.
j'en suis persuadé, faut pas les forcer au contraire ralentir les pousses, les freiner jusqu'à 5/6 ans.
Sur ceux plantés en 2006 et avec cette méthode( 3 bonzaï )m'ont produit sans apport d'eau une truffe de + de 400gr.
jm
VAUCLUSE PIEDS DU VENTOUX NORD
"quoique l'on dise ou que l'on fasse le cul du rabassier sentira toujours le thym"
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Re: actualité scientifique autour de la truffe
Pour rester dans le scientifique, j'ai une question qui n'a pas encore était traitée, ou du moins je n'ai rien vu à son sujet sur le forum.
J'expose les faits :
Sur les truffières spontanées sur lesquelles je pratique notre chère passion, il m'arrive de trouver sur 2 voire 3 jours consécutifs des truffes de taille identiques (disons dans les 15/25 grammes) et cela à la même profondeur et exactement au même endroit.
Vous me direz que je cherche mal aux alentours. Ou que mon chien n'est pas bon... Je peux vous dire que je n'hésite pas (en prenant soin) de farfouiller comme il faut en dessous et sur les côtés ainsi que de vérifier la terre projetée par le chien au moment de reboucher.
Donc ma question est : Comment expliquez vous que nous puissions retrouver plusieurs jours consécutivement des truffes de tailles similaires sachant qu'elles avaient été sorties la veille en vérifiant soigneusement de ne pas en oublier une ?
Cette question, je me la pose depuis que je vois les cycles de développement... Au vu de paraître stupide (ce que je n'espère pas quand même) ; on nous propose des cycles de croissance allant de la "primordia" jusqu' au stade de la maturation, soit le carpophore que nous ramassons et nous nous délectons (juillet/août jusqu’à janvier/février). Du stade "primordia" au stade "mature" il y a une augmentation de la taille qui n'est pas négligeable.
Donc comment expliquer ces récoltes quotidiennes de truffes en maturation ou mature exactement au même endroit jour pour jour sachant que nous prenons soin de tout vérifier ?
Cette même observation je l'ai faite avec des arbres qui donnent des grappes de truffes. Il y a quelques années en arrière, au pied d'un pin nous avons sortie près de 60 truffes toutes identiques en grammage entre 10 et 30 cm de profondeur. Le lendemain s'était reparti pour une 30 aine de plus exactement dans les mêmes profondeurs et reparties de façon quasi identique (pas d'élargissement du trou ou aumgentation de la profondeur...)
Je lance donc cette question qui me trotte dans l'esprit depuis un moment et dont personne n'arrive à m'expliquer.... (Le débat est lancé si j'ose dire !)
J'expose les faits :
Sur les truffières spontanées sur lesquelles je pratique notre chère passion, il m'arrive de trouver sur 2 voire 3 jours consécutifs des truffes de taille identiques (disons dans les 15/25 grammes) et cela à la même profondeur et exactement au même endroit.
Vous me direz que je cherche mal aux alentours. Ou que mon chien n'est pas bon... Je peux vous dire que je n'hésite pas (en prenant soin) de farfouiller comme il faut en dessous et sur les côtés ainsi que de vérifier la terre projetée par le chien au moment de reboucher.
Donc ma question est : Comment expliquez vous que nous puissions retrouver plusieurs jours consécutivement des truffes de tailles similaires sachant qu'elles avaient été sorties la veille en vérifiant soigneusement de ne pas en oublier une ?
Cette question, je me la pose depuis que je vois les cycles de développement... Au vu de paraître stupide (ce que je n'espère pas quand même) ; on nous propose des cycles de croissance allant de la "primordia" jusqu' au stade de la maturation, soit le carpophore que nous ramassons et nous nous délectons (juillet/août jusqu’à janvier/février). Du stade "primordia" au stade "mature" il y a une augmentation de la taille qui n'est pas négligeable.
Donc comment expliquer ces récoltes quotidiennes de truffes en maturation ou mature exactement au même endroit jour pour jour sachant que nous prenons soin de tout vérifier ?
Cette même observation je l'ai faite avec des arbres qui donnent des grappes de truffes. Il y a quelques années en arrière, au pied d'un pin nous avons sortie près de 60 truffes toutes identiques en grammage entre 10 et 30 cm de profondeur. Le lendemain s'était reparti pour une 30 aine de plus exactement dans les mêmes profondeurs et reparties de façon quasi identique (pas d'élargissement du trou ou aumgentation de la profondeur...)
Je lance donc cette question qui me trotte dans l'esprit depuis un moment et dont personne n'arrive à m'expliquer.... (Le débat est lancé si j'ose dire !)
Si la truffe pouvait nous raconter une année de sa vie en truffière, elle nous confierait sans doute que le trufficulteur est un adepte de pratiques sadiques...
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Re: actualité scientifique autour de la truffe
Bonjour nouveau venu BenjaminBenjamin . S a écrit : Sur les truffières spontanées sur lesquelles je pratique notre chère passion, il m'arrive de trouver sur 2 voire 3 jours consécutifs des truffes de taille identiques (disons dans les 15/25 grammes) et cela à la même profondeur et exactement au même endroit.
Donc ma question est : Comment expliquez vous que nous puissions retrouver plusieurs jours consécutivement des truffes de tailles similaires sachant qu'elles avaient été sorties la veille en vérifiant soigneusement de ne pas en oublier une ?
Après ton entrée remarquée sur notre forum, entrée qui nous ravit bien évidemment puisque ton regard neuf va nous apporter matière et c'est bien ce qui nous fait vibrer nous les Grosses Truffes

Et bien rassures toi, nous nous posons tous les mêmes questions, et lorsqu'une réponse logique arrive, elle est assez souvent contredite par ses contraires

Mais tu vas retrouver à cette question quelques explications qui te seront données par nos passionnés, car effectivement cela nous arrive à tous.
Tu trouveras sans doute dans nos discussions, quelques échanges sur ce phénomène, mais pas de certitudes ...

Jacques 37
Re: actualité scientifique autour de la truffe
Bonjour à tous,
voici un nouvel article de Rubini qui concerne les mating types: Impact of the competition between mating types on the cultivation of Tuber melanosporum: Romeo and Juliet and the matter of space and time.
le lien: http://www.casimages.com/f.php?f=14010911172542834.pdf
Bonne lecture
Joseph
voici un nouvel article de Rubini qui concerne les mating types: Impact of the competition between mating types on the cultivation of Tuber melanosporum: Romeo and Juliet and the matter of space and time.
le lien: http://www.casimages.com/f.php?f=14010911172542834.pdf
Bonne lecture
Joseph