Traitements bio et pratiques naturelles

Le choix de l'essence, les techniques de plantation, la taille, le travail du sol, l'irrigarion , méthodes de rénovation...

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jeanmidu24
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Re: Traitements bio et pratiques naturelles

Message par jeanmidu24 »

bernard a écrit : un litre de pastis.
Quel gachi !!!!! :mrgreen:

jean-mi,
Jeanmi,
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bernard
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Re: Traitements bio et pratiques naturelles

Message par bernard »

jeanmidu24 a écrit :
bernard a écrit : un litre de pastis.
Quel gachi !!!!! :mrgreen:

jean-mi,
Désolé je ne me suis pas exprimé de manière complète, je leur servirai un seau de maïs avec du pastis et au petit matin je vais sur place et je les plante et après méchoui avec pastis et une bonne bouteille. :wink:
Dans la vie tout n'est qu'une histoire de dosage , encore faut-il avoir le courage d'oser doser !
jjr24
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Re: Traitements bio et pratiques naturelles

Message par jjr24 »

Bonsoir,

Pas facile de "planter" un sanglier qui "zig et zag" :D
Chez moi, il faudrait que j'essai avec les chevreuils!!
Bonne soirée. JJR24
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bernard
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Re: Traitements bio et pratiques naturelles

Message par bernard »

Ils ne zigzaguent plus ils roupillent.
Dans la vie tout n'est qu'une histoire de dosage , encore faut-il avoir le courage d'oser doser !
audiomaniac
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Re: Traitements bio et pratiques naturelles

Message par audiomaniac »

en pratique, quels sont les champs d’application de ces protéodies ? À qui ou à quoi s’appliquent-elles ?
Potentiellement, tout ce qui fabrique de la protéine est susceptible d’être candidat à leur application. En somme, tout le vivant : virus, bactéries, champignons, plantes et animaux
dont l’homme. Concrètement, dans le domaine de l’agriculture, les premières expérimentations portaient sur des to- mates en milieu aride ; il y en eut d’autres au Sénégal, puis en Suisse et en France sous serres, mais l’application véritable- ment phare reste la lutte contre l’Esca dans la vigne. Il s’agit d’un champignon endémique en France, connu depuis la Rome antique, qui se développe directe- ment dans le cep et est vecteur de morta- lité de la vigne. Les cépages type Caber- net y sont particulièrement sensibles. J’ai croisé des viticulteurs qui voyaient 10% de leur vigne mourir tous les ans, sans la moindre solution à leur disposition.
Une société nommée Genodics© a alors développé des méthodes agricoles qui diffusent des protéodies inhibitrices de la protéine de ce champignon et sti- mulatrices des défenses immunitaires de la vigne, à l’aide de boîtiers émetteurs placés dans les vignes. Seules six minutes par jour suffisent, ce qui en fait une mé- thode très efficace. Ce qui est incroyable, c’est que non seulement ce procédé pro- duit des résultats extraordinaires, mais l’on constate que, d’année en année, les résultats sont meilleurs. La vigne ré- apprend progressivement à lutter contre l’Esca. Quant au champignon, il n’est pas tué mais inhibé, calmé.
Extrait du mensuel alternatif bien être de septembre 2014
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