lubin 81 a écrit :Bonjour
Merci Fred ,pour l'organisation des photos,et oui la fragilisation de la "coque" de la spore à une grande importance dans la germination,puisque c'est la 1ère chose que l'on doit faire ,pour que dans nos préparations,elles puissent germer
Merci encore
Lubin
Bonjour Lubin et encore merci pour ces superbes photos.
Dans nos préparation pour fragiliser les spores, habituellement on les congèle et décogèle plusieurs fois, connais-tu d'autres moyen?
Bonjour,
Oui,J-mi je connais comment ""affaiblir"" la coque,autre que par la congélation et décongélation,mais cela reste toujours dans le( secret) de la germination,pour le moment.
Je ne sais pas si congeler et décongeler favorise l'affaiblissement de celles-ci,je ne connais personne qui en ai fourni la preuve, aucun chercheur ne les fait germer,même après décongélation, alors........peut-être?
Lubin
Oui d'accord avec cette interrogation, car pour avoir plusieurs fois regarder au microscope des spores après congélation/décongélation .....et bien je n'ai jamais vu de spore avec la coque ouverte. Peut-être quelques fois un peu remanié? c'est tout.
J'imagine que les sucs digestifs des vers par exemple doivent avoir cette propriété .
Je comprends tout à fait le fait du secret de la chose et cela est très respectable.
Merci encore à toi,
bonsoir ,pourquoi vouloir affaiblir la coque,peut être que la truffe n'ayant besoin de personne (enfin d'humain )pour se reproduire peut être qu'elle attend le bon moment que seule elle connait ex: taux d'humidité x pendant x jours +bonne température , enfin c'est une idée..........bonne ou mauvaise
Bonsoir, je me permets d'intervenir juste pour savoir s'il a déjà été essayé d'affaiblir les dites coques au contact d'acides organiques ... je pense notamment à l'acide oxalique qui est présent naturellement dans les racines de certaines plantes dont j'ai entendu dire qu'elles pouvaient "accompagner" la truffe ex les fraisiers ?? Si ce sont des phénomènes de digestion qui sont les principaux responsables de la dissémination des spores le contact avec des acides doit forcément intervenir à un moment ou à un autre...
Bonsoir,
h84,vous savez comme tout le monde,j'espère, que l'on obtient des truffes qu'après la germination des spores,de n'importe quelle manière se fassent-t-elles,des mycorhizes ou deux spores qui s'accouplent,il faut obligatoirement que la spore germe,alors il me semble que si on peut préparer la spore à germer plus vite ,on obtiendra plus rapidement des truffes,car tant qu'il ni aura pas la coque devenue poreuse il ni aura pas germination et la dormance du protoplaste ne se fera pas.Donc 2 solutions s'imposent on attend,que la nature fasse le travail (parfois des années) ou on essaie de la faire aller plus vite.
Que cherche-t-on quand on a une truffière??? à avoir beaucoup de truffes!!Donc si ce système permettait de produire plus,je pense que vous vous en serviriez,comme tout le monde.
A chacun son idée,et sa liberté
Lubin
La germination de la spore est une condition nécessaire, mais il faut aussi que d'autres conditions soient réunies pour qu'il y ai naissance (facteurs climatiques cités par H84), il faut ensuite que d'autres conditions soient réunies pour obtenir des truffes matures.
Bonjour
Bion,vous êtes hors sujet quand vos parlez des autres conditions climatiques ou truffes matures,que se soit des spores que la nature à préparer à germer ou artificiellement il faudra toujours des conditions climatiques pour quelles puissent se faire,et arrivent à maturité,donc sachant qu'à partir d'avril et les mois suivants il continu à y avoir des naissances,introduire ses spores préparées pourrait donner naissances à des truffettes plus rapidement,échelonnées sur les mois favorables à la naissance .C'est là le but!!Et c'est sur cela qu'il faut travailler!!!Comment avoir + de truffettes,comment pouvoir les garder en vie.Il y aura toujours,toujours les aléas du climat,mais déjà on sait UN PEU,il lui faut de l'eau à tous les stades,qu'on peut les protéger des grandes chaleurs,par le paillage etc......
Excusez,mon introduction,peut-être un peu trop directe,mais je sens tellement incompréhension chez certains d'entre vous qu'il m'est difficile de faire autrement,et d'après mon entourage,je suis un peu trop"rondo"mille excuses.
lubin
PublicitéL
e plathelminthe terrestre était encore inconnu sur le territoire français il y a 18 mois. Importé sans doute dans des plantes en pot, essentiellement de Nouvelle-Zélande, mais aussi d'Australie et de Nouvelle-Guinée, il colonise peu à peu tout le territoire. Présent dans trois départements seulement au printemps 2013, ce petit ver invasif a gagné l'ouest de la France, et les chercheurs estiment qu'il a gagné tout l'Hexagone. Il a déjà provoqué de dégâts importants en Angleterre.
Identifié au fil des derniers mois à Lacanau, Arcachon, Gujan-Mestras, Blaye, Bordeaux, il inquiète les scientifiques car il n'a ni prédateurs ni parasites dans nos contrées. Or il se nourrit essentiellement de lombrics (certains plathelminthes préfèrent les cloportes, d'autres les escargots), qui sont des vecteurs essentiels de la biodiversité et de la chaîne alimentaire non seulement par leur action sur le sol mais aussi parce qu'il sert de nourriture à de nombreuses espèces (hérissons, amphibiens, oiseaux...). Les lombrics représentent près de 80% de la biomasse des sols.
Il est étudié depuis sa détermination par le professeur Jean-Lou Justine, chercheur au Museum d'histoire naturelle qui a créé un blog de vulgarisation consacré au plathelminthe.
Sept espèces sont recensées actuellement en France, dont la plus courante, un court ver plat marron/noir strié de jaune, qui a l'apparence d'une limace étroite. Il est recommandé de ne pas les toucher à mains nues, car certains sécrètent une toxine potentiellement allergène. Ses cocons de ponte ressemblent à de petits raisins noirs.
En 1909, un plathelminthe trouvé à La Réunion était présentée à la Société Linnéenne de Bordeaux comme un animal étrange et exotique...
à la reflexion je me demande si la congélation est une bonne idée car :
- on ne sait pas vraiment si ca contribue à fragiliser la spore
- par contre on tue certainement tous les oeufs de larves qui elles pourraient avoir cet effet favorable par leurs déjections ...
Seb
contrairement au doute, seule la certitude rend fou
Salut Seb, figure toi que je me suis fait la même réflexion. Si on peut mettre de la fraiche ça doit surement être que mieux. Mais la fraiche au mois de mars on a pas beaucoup et plutôt que jeter les déchets, les mettre au congélo c'est surement mieux que rien.
Ou-bien les mettre fraiche dans une grosse caisse à l'extèrieur avec terreau au fur et à mesure des trouvailles et ce servir de cela pour ré-ensemencer en mars. J'ai bien envie d'essayer cette méthode.
par contre Jean-Mi dans ces conditions, ca n'est pas évident de protéger la mixture des attaques de champignons externes et autres parasites compétiteurs ...
autre idée : réensemencer progressivement au fil de la saison en commencant par les non producteurs, etc... mais ca demande encore une gestion et une culture plus compliquée (et plus de temps).
Seb
contrairement au doute, seule la certitude rend fou
tuber01 a écrit :..
autre idée : réensemencer progressivement au fil de la saison en commencant par les non producteurs, etc...
Seb
Je connais un trufficulteur que réensemence (les producteurs) en canifant les truffes trouvées et en remettant les petits bouts dans le trou de cavage.
Il parait que le chien ne fait pas de nouvelle marque sur ces bouts de truffes.... Perso j'ai jamais expérimenté.
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