Oui je mettrai des photos, ils ont deux ans, tu sais je mets un petit bout de tubex de 20 cm et j'arrose à l'interieur, cela evite que ça coule le long du plastique.
Cet après-midi , un petit essaim dans un de mes chêne vert , malgré le temps pourri ( mais de saison ) , tout ce petit monde a fini au chaud dans une ruchette ...
David
Joli photo david, es-tu content de ce paillage vert? Car moi j'en ai sous certains arbres et je trouve que l'herbe arrive a passé au travers. Je vais les enlever et mettre à la place du plastique noir que je trouve plus efficace.
jean-mi,
Bonsoir ,
J'ai pas d'herbe qui poussent a travers , et je l'enlève pour travailler sous mes arbres . Effectivement , l'eau passe a travers c'est bien pratique , pas besoin d'arroser les arbres ... quand il pleut .Ces arbres ont 3 ans .
Oui je comprend mieux, si tu enlève le paillage pour travailler tes arbres l'herbe n'a pas le temps de passer au travers. Moi par contre lorsque je mets un paillage je ne travaille pas les arbres, c'est d'ailleurs l'interet principal et au bout de 1 an il y a des herbes qui percent le paillage.
Même avec un paillage étanche de 1 m2, l'eau passe dessous quand même. Il faut percer le centre en étoile ce qui ramène l'eau vers l'arbre si on fait une petite pente vers ce dernier. Et l'eau arrive aussi par les bordures qui ne sont jamais qu'à 50 cm de l'arbre.
Toutefois, le paillage plastique induit la présence d'un système racinaire superficiel. La croissance des arbres est bonne mais plus faible qu'avec un travail du sol profond et régulier suivi d'arrosages. Mais c'est un moyen redoutable de limiter les interventions pour désherber.
Pour trouer le plastic il y a vingt ans quand j'avais opté pour ce type de paillage j' avais ma technique.
Avec une planchette dans laquelle j' avais planté quelques clous je frappais le rouleau avant la découpe, facile, simple et surtout rapide avec peu d'effort.
Dans la vie tout n'est qu'une histoire de dosage , encore faut-il avoir le courage d'oser doser !
Un clic sur la photo permet de l' agrandir ce qui permet d' avoir un meilleur aperçu. La nettetée n'est pas géniale mais suffisante, pas très évident de prendre une photo de l' animal qui bouge beaucoup.
Dans la vie tout n'est qu'une histoire de dosage , encore faut-il avoir le courage d'oser doser !
aucun risque que cela grignote quoi que ce soit. Il s'agit d'un subimago du genre Ephemera. (danica? vulagata?).
Au stade adulte, ces insectes ne se nourrissent pas. Ils perdent leur pièces buccales lors de leur métamorphose.
Bref, c'est un éphémère ou mouche de mai. Un insecte aquatique qui vit un ou deux jours à l'âge adulte.
Fred
PS : pour les mangeurs de feuilles de chênes, il faut chercher ailleurs. J'ai des coléos verts qui me mettent certains chênes minables à tel point qu'il a fallu que je traite...
Il me semble qu'à cette époque sur les pubescents ce sont énormement les chenilles qui sont à l'oeuvre.
Surtout sur les jeunes pousses bien tendre.
Ceci dit, on a été plutot épargné je trouve par rapport aux années passées. Avec la météo bizarre, j'ai l'impression qu'il y a eu une désynchronisation entre l'éclosion des larves et le débourrement des chenes (tardif).
Maintenant les feuilles commencent à l'épaissir et prendre de la fermeté, le risque de grignotage s'éloigne un peu. Mais il reste à venir les maladies.
Seb
contrairement au doute, seule la certitude rend fou
oui, peu de chenilles cette année pour le moment. Je pense que cela est aussi du à la pression de prédation des oiseaux qui ont déjà les jeunes à nourrir. Les années où les chenilles sont en retard comme cette année, les oiseaux nous en débarrassent plus facilement que les années précoces.
Je l'ai remarqué sur les arbres où il y a un grillage de protection autour de l'arbre qui gène les oiseaux. Ils sont plus infestés que ceux sans protection.
Ce qui me pose le plus de soucis avec les pubs, ce sont des coléos verts qui mangent les feuilles. Ils se regroupent sur certains arbres et me laissent les côtes des feuilles. Sur les arbres affaiblis par le gel, c'est redoutable.
Je vais essayer de faire des photos pour vous montrer.
L' année dernière j' étais envahi par ce genre de coléoptère qui m' ont fait pas mal de dégats, ils commencent à apparaître chez moi cette année et c'est bien eux qui font les dégats sur le feuillage et non les mouches de mai que j' avais vu très nombreuses hier sur mes arbres, aujourd' hui examen plus minutieux.
L' année dernière j' avais traité succesivement avec du purin d' orties ( ce que j' ai fait ce matin ) et avec de l' huile de colza. Peu après il y a eu une amélioration nette, mais je ne peux affirmer si cela vient de mes soins ou si cela est dû à la fin du cycle de vie de l' espèce.
Dans la vie tout n'est qu'une histoire de dosage , encore faut-il avoir le courage d'oser doser !
Ce sont les mêmes que ceux qui me font tant de dégâts. Certains arbres sont déprimés à 30% en terme de surface foliaire. En ce moment, les feuilles deviennent plus dures mais cela ne les dérange pas. Les dégâts continuent.
Les insecticides classiques semblent peu efficaces car si tu les tue à l'instant t, deux heures après, comme ils sont très mobiles, il en est revenu sur l'arbre traité.
Salut Fred
J' ai envoyé une photo à un gars de l' inra, mais il ne m' a pas encore répondu. Dans l'enemble je n'ai pas beaucoup d'arbres attaqués, mais l' un ou l' autre c' est plus de 80% de surface foliaire perdue. L' année dernière j'ai eu une attaque assez sévère, je me rappelle que leur cycle de vie n' est pas trop long, toutefois ils étaient plus grands que ceux actuellement, donc on ne touche pas encore la fin.
Dans la vie tout n'est qu'une histoire de dosage , encore faut-il avoir le courage d'oser doser !