Bonjour à tous.
Tophe77, il n' y pas à dire, rien ne t' échappe dans la presse, au plaisir de te revoir à l' occasion.
Les échos que j' ai reçus sont plutôt élogieux, pour ma part je suis plutôt déçu par rapport à toutes les infos que j' ai envoyées à la journaliste avant notre rencontre, on ne peut pas dire, mais elle aurait pu avoir un peu plus de courage.
Je pensais lui donner un max d' infos pour éviter les erreurs : les brûlés sont typiques à mélano et non uncinatum, la truffe n' a pas besoin de beaucoup d' eau par exemple.
Dans la vie tout n'est qu'une histoire de dosage , encore faut-il avoir le courage d'oser doser !
j'essai de vous donner les différents papier paru dans la presse.
Je ne suis pas un trufficulteur, ni un pépiniériste, je ne suis pas non plus dans une région à truffe....a mon plus grand regret...... j'essai simplement de participer à ma façon à la vie du forum, et j'essai par l'intermédiaire de ce topic de mettre en valeur un trufficulteur, un marché aux truffes, un revendeur de plants truffiers,vous....., l'actu autour de la truffe d'ou le titre..lolllll
N'hésiter pas à partager vos bons plan.....
paru dans l'yonne républicain, le pépiniériste naudet
En complément de "Sur les traces de Pinpin le trufficulteur" à voir sur le net:
"Pinpin et ses fils: La trufficulture d'hier et d'aujourd'hui- Villeneuve Minervois"
C'est un des fils de Pinpin qui m'a communiqué le virus qui ne m'a plus quitté!
Alain
Voici une partie d' un article paru hier dans la presse locale, quand je lis ce passage les bras m' en tombent, comment un profane pourrait-il comprendre une chose pareille, surtout la seconde partie.
Vraiment navrant.
Il faudra s’armer de patience avant de récolter
Cl...., J..., président de Bois et Forêts, et H..... ont certifié à propos de la culture de la truffe « oui c’est possible », sous réserve de respecter de nombreuses conditions. Le sol doit être calcaire et aéré, bénéficier d’une pluviométrie moyenne (500 à 1000 mm/an), une altitude faible (200 m) et avoir des antécédents culturaux.
À ces conditions préalables, il est nécessaire d’ajouter la plantation sur la zone d’élevage d’essences mycorhizées avec la variété de truffe choisie. Dans nos régions sont possibles deux variétés de truffes, la Tuber Mélanosporum, truffe noire dite du Périgord, et la Tuber Incinatum ou truffe de Bourgogne, la plus adaptée à nos climats. Une fois les essences propices plantées (chêne pubescent, tilleul, noisetier), il faudra s’armer de patience et attendre de cinq à dix ans avant de récolter.
Dans la vie tout n'est qu'une histoire de dosage , encore faut-il avoir le courage d'oser doser !