l'inquiet un peu hors sujet mais si t'as vu 4 ou 5 draines celle-là peuvent rester sur place et se sont reproduite due à une bléssée qui est restée avec une accompagnatrice.
Si tu as vu une volle d + une dizaine c'est qu'lles migrent ....
Mélano
la récolte s'annonce compliquée
trouves-tu des borchiis en ce moment ?
jm
VAUCLUSE PIEDS DU VENTOUX NORD
"quoique l'on dise ou que l'on fasse le cul du rabassier sentira toujours le thym"
après midi ballade sur le mont Ventoux ,horreur tous les buis sont brûlés ,du jamais vu ,pour ceux qui cavent en naturel dans le Ventoux la récolte sera compromise
Sud du Lot, il n'a pas plu depuis début juillet (la plus grosses averses a donné 8 mm vers le 10 août). Dans les collines alentours, de nombreux chênes se sont mis en mode "sécurité" (feuilles déjà marrons). C'est plus que sec c'est grillé, cramé, recuit, ... Cet hiver j'aurai du temps, ce sera pas la peine d'aller caver il n'y aura pas de truffes (sauf pour ceux qui peuvent arroser).
A tous,
moi aussi j'ai des chênes blancs qui ont perdu toutes leurs feuilles !
pour les pédonculés pas de problèmes c'est normal, mais pour les Pub. çà m'inquiette un peu d'habitude, ils les gardent ?
jm
VAUCLUSE PIEDS DU VENTOUX NORD
"quoique l'on dise ou que l'on fasse le cul du rabassier sentira toujours le thym"
bonjour, oui les blancs souffrent, l'année dernière sur les 14 blancs 6 et 7 ans qui traînent au milieu des verts certains ont perdus 2 fois leurs feuilles, donc cette année jeleurs ai balancé 3 fois de l'eau à la lance à incendie car à force ça doit leurs tirer sur la coine
François
opti16
dans la famille des chênes blancs (qui perdent leurs feuilles caduques ) il y a:
- le pubescent
- le pédonculé
- le rouvre
- le sessile (chêne noir)
et bien d'autres ....
jm
VAUCLUSE PIEDS DU VENTOUX NORD
"quoique l'on dise ou que l'on fasse le cul du rabassier sentira toujours le thym"
Salut à tous et merci Leromain pour l'explication;
Bilan jusqu'à fin août:
janvier: 54mm d'eau et 4°,8 de température moyenne jour ,nuit.
fevrier: 7mm et -1° de moy.
mars: 19mm et 8°,9
avril: 202mm et 8°,35
mai: 59mm et 15° de moy.
juin: 67mm et 17°,95
juillet 29mm et 17°,87
août 8mm(2 pluies) et 20°,58 de moyenne:
chez moi depuis la mi-juin pas d'eau.j'attends de voir si en janvier et février prochain mon voisin a la
même quantité de truffes en sauvage que les autres années.
J'espère que météo france va se tromper car pas pour nous dans les 10 jours.
Oui, les prévisions changent plusieurs fois par jour à l'échéance du début de la semaine prochaine. Les prévisions vont s'affiner et dimanche on en saura plus.
Perso, j'ai tous mes arbres qui ont été arrosés et c'est royal de voir comment ils poussent en ce moment. Nuits fraîches, 30°C l'après-midi, c'est vraiment du beau temps. Dommage qu'en sauvage cela soit si sec.
A tous
année bissextile année imbécile ....
De la colère mercredi j'ai passé l'actisol à 1.2 ml de pieds de mes 6/12 ans et sur mes 1/2 ans pour l'herbe ( chiendent et autres) .
Même si j'ai arrosé qq producteurs je suis plus que pessimiste car rien ne vaut la pluie.
La terre était plus que séche sur10cm et les 24 mm du 30 août se sont évaporés....Pas de marques non plus .
Maintenant je n'ai plus le temps de faire des apports donc conclusion: crise aussi dans la trufficulture .....
jm
VAUCLUSE PIEDS DU VENTOUX NORD
"quoique l'on dise ou que l'on fasse le cul du rabassier sentira toujours le thym"
Leromain84 a écrit :
Même si j'ai arrosé qq producteurs je suis plus que pessimiste car rien ne vaut la pluie.
jm
Je rebondis sur ta phrase concernant la différence que nous pouvons faire entre pluie naturelle et pluie apportée. On entend assez souvent cette remarque. Mais à quoi fait-on exactement référence ?
Est-ce à la qualité de l'eau, est-ce au mode d'apport de cette eau (pulvérisation, ou autre moyen), ou bien encore d'autres comparatifs
Pour ma part j'ai choisi l'arrosage (car j'ai cette chance de pouvoir arroser) micro aspersion circulaire qui je pense est le plus proche de la pluie naturelle. Ceci étant, il reste toujours à choisir l'instant, la quantité et ceci en fonction de la connaissance de ses sols, d’où l'importance de l'observation.