j'ai en bas de la maison, une grande partie du pré que ma femme ne veut pas que je plante pour des questions paysagères (vue du paysage dégagé).
On raconte plein de choses sur les avantages de l'apport de truffes au moment de la plantation puis plus tard lors du travail du sol.
Lors des travaux monotones que j'effectue de temps en temps, mon esprit est souvent avec les truffes...
J'ai donc imaginé un protocole expérimental pour juger de l'impact de la remycorhisation.
J'ai imaginé planter 5 rangées de noisetiers à 4X2 (je n'ai pu obtenir que 400 m2 mais ce n'est pas si mal

- une de 10 plants non myco et sans apports
- une de 10 plants myco mélano sans apports
- une de 10 plants non myco avec apports à la plantation et lors du travail
- une de 10 plants myco mélano avec apports à la plantation et lors du travail
- une de 10 plants myco aestivum avec apports de spores mélano à la plantation et lors du travail annuel.
On laisse deux ans en terre et on arrache pour juger de la mycorhization après les différents traitements. (deux ans pour que les plants ne se voient pas de la maison).
Vous en pensez quoi? Pensez-vous que ce type d'expérimentation puisse recevoir du soutien? De qui comment?
Merci de vos remarques avisées.
Fred