émissions autour de la truffe
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Re: émissions autour de la truffe
https://youtu.be/WawBhzsABCc
ah on s'en lasse pas des videos de daniel chaume avec son cochon
apres j'en reparler avec mon frere mais c vrai qu'il est efficace le goret, chez moi c lui qui a sorti le plus de truffe et que de la mure, dommage qui soit pas trop dispo.
ah on s'en lasse pas des videos de daniel chaume avec son cochon
apres j'en reparler avec mon frere mais c vrai qu'il est efficace le goret, chez moi c lui qui a sorti le plus de truffe et que de la mure, dommage qui soit pas trop dispo.
Re: émissions autour de la truffe
Les carnets de Julie, une émission que je trouve bien faite et chose hélas trop rare on y voit que des truffes de qualité.
https://www.france.tv/france-3/carnets- ... ruffe.html
https://www.france.tv/france-3/carnets- ... ruffe.html
Dans la vie tout n'est qu'une histoire de dosage , encore faut-il avoir le courage d'oser doser !
Re: émissions autour de la truffe
Côtes-du-Rhône
Recherche vignerons pour cultiver de la truffe
La société de négoce Plantin Truffe veut convaincre les viticulteurs du Vaucluse et de la Drôme en panne de débouché de se diversifier dans la production de diamant noir. Elle s’est associée au projet Terroir porté par le syndicat général des vignerons des côtes-du-rhône.
’équation est la suivante. Le Vaucluse souffre d’un manque de production de truffes. Dans ce même département, les ventes de vin, le côtes-du-rhône principalement, sont en recul. Partie de ce constat, la société Plantin Truffe à Puyméras (84) veut convaincre les viticulteurs du Vaucluse, mais aussi de la Drôme, de s’intéresser à cette culture. « Nous venons de nous associer au projet Terroir porté par le syndicat des vignerons des côtes-du-rhône qui vise justement à accompagner les producteurs qui le souhaitent dans des projets de diversification », annonce Nicolas Rouhier, directeur général de l’entreprise qui a présenté cette initiative le 23 novembre dernier lors d’une conférence de presse dans ses locaux. « Les terres à vigne pauvres, calcaires et caillouteuses se prêtent parfaitement à la plantation de truffières, enchaîne-t-il. Le seul impératif, c’est d’avoir accès à l’eau. »
L’entreprise, qui achète une centaine de tonnes de diamant noir chaque année, s’approvisionne en local et en importe également. « Nous n’avons pas assez de production sur place pour répondre à la demande », commente le responsable. Pis, si le Sud-Est détient le leadership de ce fruit il est en passe de se faire doubler par des départements tels que les Deux-Sèvres et les Charentes qui plantent des truffières dernier-cri à haut rendement. L’Espagne, l’Australie et le Chili développent également les surfaces dans ce même état d’esprit.
« Des viticulteurs de notre secteur nous proposent de racheter leurs terres, mais ces transactions sont compliquées, voire impossibles en France, souligne Nicolas Rouhier. D’où notre volonté de monter des partenariats avec les agriculteurs. Nous venons ainsi de nous associer à un producteur de lavande avec lequel nous allons créer début 2024 9 hectares de truffières dans le Vaucluse. » Plantin propose aux viticulteurs de travailler sur des projets communs à l’instar de l’exemple précité ou de les conseiller dans la plantation. « C’est une culture dont le mode de conduite s’est considérablement modernisé au cours de ces dernières années, précise Nicolas Rouhier. Nous sommes a même de partager les connaissances acquises, les résultats et les perspectives en termes de revenus via des outils de modélisation. » Pour un vigneron qui souhaite se lancer, la mise de départ oscille entre 10 et 15 000 €/ha. Ce montant comprend le travail des sols, la plantation, l’installation de la clôture et du dispositif d’irrigation. Il faut ensuite attendre huit ans avant de récolter les premières truffes. Le cours de ces dernières se situe entre 400 et 1 000 €/kg selon les campagnes.
« Nous voulons proposer à nos adhérents des pistes de diversification et la truffe en fait partie, indique de son côté Philippe Faure, secrétaire général du syndicat des côtes-du-rhône. Nous avons donc répondu à un appel à manifestation d’intérêt dans le cadre du plan France Relance. Nous avons constitué et adressé le dossier aux services de l’État, nous attendons désormais une réponse. » Le projet Terroir n’attend plus qu’un feu vert pour démarrer.
Recherche vignerons pour cultiver de la truffe
La société de négoce Plantin Truffe veut convaincre les viticulteurs du Vaucluse et de la Drôme en panne de débouché de se diversifier dans la production de diamant noir. Elle s’est associée au projet Terroir porté par le syndicat général des vignerons des côtes-du-rhône.
’équation est la suivante. Le Vaucluse souffre d’un manque de production de truffes. Dans ce même département, les ventes de vin, le côtes-du-rhône principalement, sont en recul. Partie de ce constat, la société Plantin Truffe à Puyméras (84) veut convaincre les viticulteurs du Vaucluse, mais aussi de la Drôme, de s’intéresser à cette culture. « Nous venons de nous associer au projet Terroir porté par le syndicat des vignerons des côtes-du-rhône qui vise justement à accompagner les producteurs qui le souhaitent dans des projets de diversification », annonce Nicolas Rouhier, directeur général de l’entreprise qui a présenté cette initiative le 23 novembre dernier lors d’une conférence de presse dans ses locaux. « Les terres à vigne pauvres, calcaires et caillouteuses se prêtent parfaitement à la plantation de truffières, enchaîne-t-il. Le seul impératif, c’est d’avoir accès à l’eau. »
L’entreprise, qui achète une centaine de tonnes de diamant noir chaque année, s’approvisionne en local et en importe également. « Nous n’avons pas assez de production sur place pour répondre à la demande », commente le responsable. Pis, si le Sud-Est détient le leadership de ce fruit il est en passe de se faire doubler par des départements tels que les Deux-Sèvres et les Charentes qui plantent des truffières dernier-cri à haut rendement. L’Espagne, l’Australie et le Chili développent également les surfaces dans ce même état d’esprit.
« Des viticulteurs de notre secteur nous proposent de racheter leurs terres, mais ces transactions sont compliquées, voire impossibles en France, souligne Nicolas Rouhier. D’où notre volonté de monter des partenariats avec les agriculteurs. Nous venons ainsi de nous associer à un producteur de lavande avec lequel nous allons créer début 2024 9 hectares de truffières dans le Vaucluse. » Plantin propose aux viticulteurs de travailler sur des projets communs à l’instar de l’exemple précité ou de les conseiller dans la plantation. « C’est une culture dont le mode de conduite s’est considérablement modernisé au cours de ces dernières années, précise Nicolas Rouhier. Nous sommes a même de partager les connaissances acquises, les résultats et les perspectives en termes de revenus via des outils de modélisation. » Pour un vigneron qui souhaite se lancer, la mise de départ oscille entre 10 et 15 000 €/ha. Ce montant comprend le travail des sols, la plantation, l’installation de la clôture et du dispositif d’irrigation. Il faut ensuite attendre huit ans avant de récolter les premières truffes. Le cours de ces dernières se situe entre 400 et 1 000 €/kg selon les campagnes.
« Nous voulons proposer à nos adhérents des pistes de diversification et la truffe en fait partie, indique de son côté Philippe Faure, secrétaire général du syndicat des côtes-du-rhône. Nous avons donc répondu à un appel à manifestation d’intérêt dans le cadre du plan France Relance. Nous avons constitué et adressé le dossier aux services de l’État, nous attendons désormais une réponse. » Le projet Terroir n’attend plus qu’un feu vert pour démarrer.
Re: émissions autour de la truffe
Bonjour,
Sont forts ces commerciaux! Une alternative à ce qui existe déjà, avec captage de terres!?
JJ24
Sont forts ces commerciaux! Une alternative à ce qui existe déjà, avec captage de terres!?
JJ24
Re: émissions autour de la truffe
Quelle honte TF1 au 20h hier soir sur la truffe chinoise
https://www.tf1info.fr/nutrition/video- ... iZs7H0zsR4
https://www.tf1info.fr/nutrition/video- ... iZs7H0zsR4
Félix
Re: émissions autour de la truffe
Bonsoir,
TF1info, j'appelle ça du publie-reportage!...
Annonce commerciale!...
JJ24
TF1info, j'appelle ça du publie-reportage!...
Annonce commerciale!...
JJ24
Re: émissions autour de la truffe
Vraiment une honte la truffe chinoise !!!!
Re: émissions autour de la truffe
Le reportage a le mérite de nous montrer le biotope et le récolte de ces espèces de truffes. Tant qu'ils ne pas récolteront pas au chien à maturité, ils continueront à en faire de la soupe car ça ne vaudra pas plus qu'une melano immature.
Après cette truffe existe. Si elle est vendue comme truffe de Chine, cela ne pose pas de problème majeur. La honte c'est quand elle est vendue pour de la melano.
Fred
Après cette truffe existe. Si elle est vendue comme truffe de Chine, cela ne pose pas de problème majeur. La honte c'est quand elle est vendue pour de la melano.
Fred
Re: émissions autour de la truffe
la truffe de Chine vaut bien de l'aestivum mélangée aux arômes immondes mais là ca semble déranger moins de monde.
Seb
Seb
contrairement au doute, seule la certitude rend fou
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Re: émissions autour de la truffe
Pas dit que même à maturité l'indicum sente quelque chose.....celle que j'ai eu en main semblait bien mature, et n'avait qu'une vague odeur de champignon.
Michel.
Michel.
Re: émissions autour de la truffe
Bonjour,
D'accord, je n'ai jamais senti une indicum à maturité je suppose!?
Ce qui fait réagir, c'est le parti pris +ou-insidieux dans le reportage! Rien à redire, c'est une truffe, tant qu'elle est spécifiée comme telle! Les arômes (toutes espèces!) ont peu les retrouver sur cette truffe!
JJ24
D'accord, je n'ai jamais senti une indicum à maturité je suppose!?
Ce qui fait réagir, c'est le parti pris +ou-insidieux dans le reportage! Rien à redire, c'est une truffe, tant qu'elle est spécifiée comme telle! Les arômes (toutes espèces!) ont peu les retrouver sur cette truffe!
JJ24
Re: émissions autour de la truffe
Bonjour,
+ 1 tuber 01,cela ne gêne personne de vendre l'aestivum à 300e, encore toute blanche sans odeur, caver en surface......
lubin
+ 1 tuber 01,cela ne gêne personne de vendre l'aestivum à 300e, encore toute blanche sans odeur, caver en surface......
lubin
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Re: émissions autour de la truffe
Après faut voir c peut-être bon. D’un sens a24 e le kg, n’importe Qui peut en manger et si ça fait grimper maman au rideau , pourquoi pas. Chez nous les vieilles achètent pas ça aussi pour faire remonter le bâton de pépé ??? Après faut pas s’inquiéter notre truffe c comme le bon vin ou les bons whiskys. Ceux qui ont les moyens achèteront toujours le meilleur. Après y’a 95% de pauvres aussi et le marché existe aussi. C comme le caviar et les œufs de lympe ou de mulet... ce qui est dingue c la ressemblance, allez j’e Commande 2 kg, non je deconne
Re: émissions autour de la truffe
Moi ce qui me gêne ce n'est pas l'odeur ni le goût ni l'effet pécunier ,mais le côté invasif de l'espèce dans nos terres à courts et moyens thermes avec le risque de dissémination des spores !
l'homme jeune va beaucoup plus vite que l'homme agé, mais l'homme agé connait le chemin !
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Re: émissions autour de la truffe
Bonjour Clovis,
L'indicum étant une truffe de terrain acide, le risque de compétition avec nos truffes n'existe pas.
Et l'introduire à but commercial ne se fera pas, la main d'oeuvre ici n'est pas au même tarif qu'en Chine.
Michel.
L'indicum étant une truffe de terrain acide, le risque de compétition avec nos truffes n'existe pas.
Et l'introduire à but commercial ne se fera pas, la main d'oeuvre ici n'est pas au même tarif qu'en Chine.
Michel.