Conditions et suivi des naissances.
Modérateurs : jacques 37, galistruffe, phil, uncinat55
Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonjour,
Fred,j'ai essayé de mettre des photos d'un ascomycète yarrowia lipolytica que l'on trouve fréquemment dans nos brûlés je n'arrive pas à mettre les photos en suivant, de son développement alors je mets la 3eme ici .Vous les rassemblerez.Je suis triple nulle sur l'ordinateur pour faire des manip .
Cet ascomycète,peut décomposer les hydrocarbures et est utilisé dans certains procédés industriels.
Cela permet de ce faire des images de certaines formes à partir de deux filaments.
lubin
Fred,j'ai essayé de mettre des photos d'un ascomycète yarrowia lipolytica que l'on trouve fréquemment dans nos brûlés je n'arrive pas à mettre les photos en suivant, de son développement alors je mets la 3eme ici .Vous les rassemblerez.Je suis triple nulle sur l'ordinateur pour faire des manip .
Cet ascomycète,peut décomposer les hydrocarbures et est utilisé dans certains procédés industriels.
Cela permet de ce faire des images de certaines formes à partir de deux filaments.
lubin
Re: Conditions et suivi des naissances.

lubin 81 a écrit :Bonjour,
Fred,j'ai essayé de mettre des photos d'un ascomycète yarrowia lipolytica que l'on trouve fréquemment dans nos brûlés je n'arrive pas à mettre les photos en suivant, de son développement alors je mets la 3eme ici .Vous les rassemblerez.Je suis triple nulle sur l'ordinateur pour faire des manip .
Cet ascomycète,peut décomposer les hydrocarbures et est utilisé dans certains procédés industriels.
Cela permet de ce faire des images de certaines formes à partir de deux filaments.
lubin
Re: Conditions et suivi des naissances.
Omisc,
Si le mycélium conduit de la sève brute, il serait rare que ça soit de façon centrifuge de l'arbre vers le mycélium mais ça se fera plus certainement de façon centripète du mycélium vers l'arbre.
Les capacités du mycelium. pour exploiter la solution du sol à la base de la sève brute sont bien supérieures à celle des racines. C'est d'ailleurs pour cela que l'arbre s'associe au champignon pour lui permettre d'être alimenter en sève brute lors des périodes de disette.
Donc, il serait rare que la sève brute aille de l'arbre à la truffette via le mycélium. Toutefois lors de la formation du brûlé, les conditions sont optimales pour la vie du champignon dans le sol. Dans ces conditions, la vie des trufettes si elles sont indépendantes doit être sereine pendant quelques jours lorsque le sol est tiède et humide.
Après, lorsque la température monte, gare à celle qui ne sera pas ratachée au réseau.
Pour la sève élaborée, je ne connaîs pas les mécanismes de transport du glucose dans les champignons. Mais il est probable que faute de tissu vasculaire, le transport se fasse par diffusion. Et l'ennemi numéro un de la diffusion, c'est la distance. Plus la truffette sera loin d'une racine, moins elle recevra de sucre. Pas étonnant de trouver les truffes à proximité immédiate d'une racine.
Gare à celles qui ne seront pas proche d'une racine?
Au final, si tu fais le tri entre celles qui vont dessécher car le réseau les a lâchées et celles qui seront sous alimentées car loin des racines, tu arrives à des pertes colossales sauf en des coins particuliers style trous à truffes, buttes de terres, racines de ronces ou de buissons noirs.
Fred
Si le mycélium conduit de la sève brute, il serait rare que ça soit de façon centrifuge de l'arbre vers le mycélium mais ça se fera plus certainement de façon centripète du mycélium vers l'arbre.
Les capacités du mycelium. pour exploiter la solution du sol à la base de la sève brute sont bien supérieures à celle des racines. C'est d'ailleurs pour cela que l'arbre s'associe au champignon pour lui permettre d'être alimenter en sève brute lors des périodes de disette.
Donc, il serait rare que la sève brute aille de l'arbre à la truffette via le mycélium. Toutefois lors de la formation du brûlé, les conditions sont optimales pour la vie du champignon dans le sol. Dans ces conditions, la vie des trufettes si elles sont indépendantes doit être sereine pendant quelques jours lorsque le sol est tiède et humide.
Après, lorsque la température monte, gare à celle qui ne sera pas ratachée au réseau.
Pour la sève élaborée, je ne connaîs pas les mécanismes de transport du glucose dans les champignons. Mais il est probable que faute de tissu vasculaire, le transport se fasse par diffusion. Et l'ennemi numéro un de la diffusion, c'est la distance. Plus la truffette sera loin d'une racine, moins elle recevra de sucre. Pas étonnant de trouver les truffes à proximité immédiate d'une racine.
Gare à celles qui ne seront pas proche d'une racine?
Au final, si tu fais le tri entre celles qui vont dessécher car le réseau les a lâchées et celles qui seront sous alimentées car loin des racines, tu arrives à des pertes colossales sauf en des coins particuliers style trous à truffes, buttes de terres, racines de ronces ou de buissons noirs.
Fred
Re: Conditions et suivi des naissances.
Désolé Fred, je me suis planté en écrivant "sève brut", je pensais évidement à "sève élaborée" car la sève brut ne contient pas les glucoses/carbone de l'arbre (et je suis persuadé que le champignon puise son énergie des racines en formation qui sont les seules à pouvoir apporter en masse du glucose), avec "brut" je voulais dire : "tel quel" sans que le mycélium ne la modifie.
J'ai fait "editer" et j'ai corrigé...
Sinon je suis d'accord avec toi sur le transport difficile du glucose dans le mycélium et je traduis en disant que forcément la truffe qui arrive à maturité est pas loin de racines jeunes !!!
J'ai aussi cherché de la doc sur le transport des éléments dans le mycélium, sans grand succès...
Pour moi la question de fond pour le grossissement de la truffe reste :
Est-il envisageable que le mycélium qui vient des racines puisse nourrir en glucose une truffette, sans lui donner son ADN ?
Indépendamment du fait que la truffette soit issue de : 2 spores, d'une spore et d'une hyphe, de 2 hyphes.
J'ai fait "editer" et j'ai corrigé...
Sinon je suis d'accord avec toi sur le transport difficile du glucose dans le mycélium et je traduis en disant que forcément la truffe qui arrive à maturité est pas loin de racines jeunes !!!

J'ai aussi cherché de la doc sur le transport des éléments dans le mycélium, sans grand succès...
Pour moi la question de fond pour le grossissement de la truffe reste :
Est-il envisageable que le mycélium qui vient des racines puisse nourrir en glucose une truffette, sans lui donner son ADN ?
Indépendamment du fait que la truffette soit issue de : 2 spores, d'une spore et d'une hyphe, de 2 hyphes.
Dom
Re: Conditions et suivi des naissances.
bonjour,
Fred,votre raisonnement est le mien.La truffette est indépendante de l'arbre quand elle naît,pendant un certain temps,mais à un certain moment il lui faudra l'arbre pour grossir.
J'ai une anecdote qui est arrivé chez moi,et qui fait bien réfléchir,j'avais un très grand chêne qui produisait aestivum,grosses truffes,la tempête de 2009 ,le 6 janvier l'arbre à été déraciné, au mois de juin de la même année,la chienne commence à trouver des aestivums en parfait état et odorantes(52)mais la plus grosse était comme une olive et le reste en dégradé.Et depuis plus rien,bien sûr.
Que penser?que dire.Pourquoi ces truffes sans grossir sont allées jusqu'au bout? sans l'arbre?Restait-il des réserves dans les racines cassées?
Lubin
Fred,votre raisonnement est le mien.La truffette est indépendante de l'arbre quand elle naît,pendant un certain temps,mais à un certain moment il lui faudra l'arbre pour grossir.
J'ai une anecdote qui est arrivé chez moi,et qui fait bien réfléchir,j'avais un très grand chêne qui produisait aestivum,grosses truffes,la tempête de 2009 ,le 6 janvier l'arbre à été déraciné, au mois de juin de la même année,la chienne commence à trouver des aestivums en parfait état et odorantes(52)mais la plus grosse était comme une olive et le reste en dégradé.Et depuis plus rien,bien sûr.
Que penser?que dire.Pourquoi ces truffes sans grossir sont allées jusqu'au bout? sans l'arbre?Restait-il des réserves dans les racines cassées?
Lubin
Re: Conditions et suivi des naissances.
Il reste probablement des réserves dans les racines. En 2003 je coupais des arbres qui avaient 10 ans de plantation qui donnaient brumales ou bien rien du tout, 5ans après avoir coupé un arbre, je trouvais une brumale sur un emplacement d'arbre coupé qui n'avait jamais donné .Encore aujourd'hui il m'arrive de retrouver des racines de ces arbres (10 ans après )encore souples signe qu'il reste encore qq chose dans ces racines. Je précise que ces arbres sont morts il n'y a pas de rejets ils ont été coupé plusieurs fois par an pendant les deux ans qui ont suivi leur abattage.
-
- Membre
- Messages : 7586
- Inscription : 10 févr. 2013 20:21
- Localisation : Bouches du Rhône centre
Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonjour,
Les situation sont un peu différentes, pour lubin81, l'arbre a été arraché, et une partie importante des racines avec.
Dans le cas d'une coupe, il en reste beaucoup plus.
Et les racines de l'arbre coupé sont peut-être anastomosées avec celles d'autres arbres, ce qui favoriserait leur survie plusieurs années après.
Michel.
Les situation sont un peu différentes, pour lubin81, l'arbre a été arraché, et une partie importante des racines avec.
Dans le cas d'une coupe, il en reste beaucoup plus.
Et les racines de l'arbre coupé sont peut-être anastomosées avec celles d'autres arbres, ce qui favoriserait leur survie plusieurs années après.
Michel.
Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonjour à tous,lubin 81 a écrit :La truffette est indépendante de l'arbre quand elle naît,pendant un certain temps,mais à un certain moment il lui faudra l'arbre pour grossir.
Encore trop de pluie et d'eau, donc une journée à pianoter

Ne serait il pas possible que la truffette soit déjà dépendante de l'arbre à sa naissance par le mycélium mère?
Et que les pertes de truffettes à venir viennent des ruptures de tuyaux proportionnellement importantes par rapport à la distance de naissance avec les racines ?
Seb
contrairement au doute, seule la certitude rend fou
Re: Conditions et suivi des naissances.
Si j'avais à parier, je parierai sur cette hypothèse en ce qui me concerne.
Fred
Fred
Re: Conditions et suivi des naissances.
Ben pour moi, le fil dont vous parlez est trop ténu, au début de la formation de la truffette ça pourrait marcher, mais après ça ne colle plus pour faire grossir la truffe.
Je penche plutôt du coté où la truffe est indépendante de l'arbre à sa formation, comme le montre les images de Lubin.
Ensuite c'est les hyphes qui sont tout autour et qui viennent des racines qui la nourrisse, je vois pas comment ça peut marcher autrement...
Je penche plutôt du coté où la truffe est indépendante de l'arbre à sa formation, comme le montre les images de Lubin.
Ensuite c'est les hyphes qui sont tout autour et qui viennent des racines qui la nourrisse, je vois pas comment ça peut marcher autrement...
Dom
Re: Conditions et suivi des naissances.
L'une des prochaines étapes sera de comprendre la dormance des spores sous nos arbres.
Pourquoi faut il attendre deux ans dans un piège pour obtenir le plus grand nombre de truffe. Que se passe t'il pendant un an?
Bien sur il faut une humidité et une température particulières, mais quels sont les autres paramètres indispensables?
Ou est l'intérêt de mettre de la matière organique stable, comme le terreau?
Lubin nous a montré de superbes cellules qui germent, s'il y a une seule cellule qui germe dans l'environnement d'une radicelle, y aura t il formation d'une mycorhize lorsque ce mycélium rencontrera la racine?
Encore beaucoup de questions, même si on commence à y voir plus clair.
Le plus dure comme le dit Fred sera d'analyser nos brulés stériles, car les paramètres risques d'être nombreux pour comprendre le ou les points bloquants.
Didier
Pourquoi faut il attendre deux ans dans un piège pour obtenir le plus grand nombre de truffe. Que se passe t'il pendant un an?
Bien sur il faut une humidité et une température particulières, mais quels sont les autres paramètres indispensables?
Ou est l'intérêt de mettre de la matière organique stable, comme le terreau?
Lubin nous a montré de superbes cellules qui germent, s'il y a une seule cellule qui germe dans l'environnement d'une radicelle, y aura t il formation d'une mycorhize lorsque ce mycélium rencontrera la racine?
Encore beaucoup de questions, même si on commence à y voir plus clair.
Le plus dure comme le dit Fred sera d'analyser nos brulés stériles, car les paramètres risques d'être nombreux pour comprendre le ou les points bloquants.
Didier
Re: Conditions et suivi des naissances.
J'ai oublié de préciser ma manière de voir la connexion en l'arbre et la truffe.
Après avoir vu ces deux cellules qui germent et prospectent leur environnement par l'intermédiaire d'un mycélium. La cellule diploïde qui deviendra une truffe pourrait elle aussi émettre du mycélium pour assurer sa survie et coloniser une radicelle. Dans le seul but de survivre et de se nourrir(le carbone venant exclusivement de l'arbre). Le caractère aléatoire de cette rencontre expliquerai le taux de perte.
Didier
Après avoir vu ces deux cellules qui germent et prospectent leur environnement par l'intermédiaire d'un mycélium. La cellule diploïde qui deviendra une truffe pourrait elle aussi émettre du mycélium pour assurer sa survie et coloniser une radicelle. Dans le seul but de survivre et de se nourrir(le carbone venant exclusivement de l'arbre). Le caractère aléatoire de cette rencontre expliquerai le taux de perte.
Didier
Re: Conditions et suivi des naissances.
Pour les trous à truffe fait sur un brulé, si il n'y a pas de truffes la première année, à mon avis c'est pas à cause du champignon, c'est à cause de l'arbre. C'est parce que il faut un certain temps à l'arbre pour se rendre compte que le coin avec le terreau est sympa et qu'il se mette à faire des racines jeunes dans le trou ou en périphérie du trou.
Mais ce n'est que mon avis.
Mais ce n'est que mon avis.
Dom
-
- Membre
- Messages : 3637
- Inscription : 21 janv. 2008 14:41
- Localisation : entre perigord noir et quercy
Re: Conditions et suivi des naissances.
+1 sauf chez certains dans le sud est mais je suis sûr qu'ils doivent avoir 3 fois plus de pousses que chez nous d'ou peut etre l'explication .omisc a écrit :Pour les trous à truffe fait sur un brulé, si il n'y a pas de truffes la première année, à mon avis c'est pas à cause du champignon, c'est à cause de l'arbre. C'est parce que il faut un certain temps à l'arbre pour se rendre compte que le coin avec le terreau est sympa et qu'il se mette à faire des racines jeunes dans le trou ou en périphérie du trou.
Mais ce n'est que mon avis.
Par contre j'aimerais bien savoir (comme hanc07) ce qui permet la levée de la dormance . Lubin nous a expliquer qu'elle avait remarquer que la germination des spores ce faisait par volée.
ce serait bien de comprendre ce qui induit la germination .
A+ stef@
-
- Membre
- Messages : 389
- Inscription : 05 mai 2013 22:58
Re: Conditions et suivi des naissances.
Bonsoir tous ...
Je pense et je "rumine" : Grâce à Lubin nous avons vu 2 hyphes, issus de germination de spores, fusionner en donner lieu à un filament. La fusion observée se produit à très faible distance de la spore et de sa germination. Tout porte à croire que ce filament est diploïde, ou, au moins, dicaryotique.
Si l'on transpose ce que la science pense savoir du cycle des ascomycètes, c'est-à-dire que le mycélium végétatif est en principe haploïde, et que la fusion plasmatique, génératrice de tissus diploïdes, précède la fructification productrice des asques au sein desquelles s'opérera la méïose productrice de spores haploïdes, alors, ce "nouveau" filament devrait avoir pour vocation de "fructifier".
Mais :
- Pourquoi des hyphes plus développés, ayant déjà vécu leur vie, et assuré une connexion avec une radicelle, ne pourraient-ils pas fusionner de la même manière ?
- Comment le filament que nous avons observé va-t-il assurer son approvisionnement depuis une radicelle, alors que toutes les mycorhizes observées sont haploïdes ?
- La gléba de notre Mélano est haploïde ... comment former une truffe à partir de tissus diploïdes ?
Pour résumer : autant les observations pertinentes et photographiées de Lubin montrent quelquechose dont on savait plus ou moins que ça devait se produire, mais sans l'avoir jamais observé jusque là, autant il reste une interrogation majeure sur la façon dont se développe une truffe constituée d'une gléba haploïde contenant ( et nourrissant ? ) des asques diploïdes ... : à partir de quels organes d'origine ? avec quel processus de nutrition et d'approvisionnement ? ...
C'est toujours ça , le problème, avec la science : chaque fois que tu réponds à une question, tu t'aperçois que ta réponse soulève 10 nouvelles questions qui attendent une nouvelle réponse : On n'est pas au chômage !!!!
A+
Cordialement,
MartinduGard
Je pense et je "rumine" : Grâce à Lubin nous avons vu 2 hyphes, issus de germination de spores, fusionner en donner lieu à un filament. La fusion observée se produit à très faible distance de la spore et de sa germination. Tout porte à croire que ce filament est diploïde, ou, au moins, dicaryotique.
Si l'on transpose ce que la science pense savoir du cycle des ascomycètes, c'est-à-dire que le mycélium végétatif est en principe haploïde, et que la fusion plasmatique, génératrice de tissus diploïdes, précède la fructification productrice des asques au sein desquelles s'opérera la méïose productrice de spores haploïdes, alors, ce "nouveau" filament devrait avoir pour vocation de "fructifier".
Mais :
- Pourquoi des hyphes plus développés, ayant déjà vécu leur vie, et assuré une connexion avec une radicelle, ne pourraient-ils pas fusionner de la même manière ?
- Comment le filament que nous avons observé va-t-il assurer son approvisionnement depuis une radicelle, alors que toutes les mycorhizes observées sont haploïdes ?
- La gléba de notre Mélano est haploïde ... comment former une truffe à partir de tissus diploïdes ?
Pour résumer : autant les observations pertinentes et photographiées de Lubin montrent quelquechose dont on savait plus ou moins que ça devait se produire, mais sans l'avoir jamais observé jusque là, autant il reste une interrogation majeure sur la façon dont se développe une truffe constituée d'une gléba haploïde contenant ( et nourrissant ? ) des asques diploïdes ... : à partir de quels organes d'origine ? avec quel processus de nutrition et d'approvisionnement ? ...
C'est toujours ça , le problème, avec la science : chaque fois que tu réponds à une question, tu t'aperçois que ta réponse soulève 10 nouvelles questions qui attendent une nouvelle réponse : On n'est pas au chômage !!!!

A+
Cordialement,
MartinduGard